Le coup de griffe de Mballo Dia Thiam : "Le ministre Abdoulaye Diouf Sarr s'occupe trop des détails"
Entre autres griefs, les dettes des hôpitaux mais aussi les revendications jusque-là non satisfaites des syndicats.
« Nous attendions le nouveau ministre de la Santé sur des actes. Mais, nous avons constaté qu’il ne rassure pas. Parce qu’au lieu de s’occuper de l’essentiel, il se s’occupe des détails », a fait savoir Mballo Dia Thiam.
Le syndicaliste informe que les hôpitaux sont presque « asphyxiés » avec les dettes cumulées de la Couverture maladie universelle qui sont là. Les structures de santé qui sont restées presque 13 mois avec des arriérés, ne fonctionnent plus, a-t-il poursuivi.
A cela, il ajoute qu’il y a aussi le problème du personnel. « La commission nationale d’affectation a été convoquée sur le magistère d’Eva Marie Coll Seck. Ça fait six mois que les actes ne sont pas signés. Or, il y a un moment pour affecter les gens », a-t-il noté, soulignant que dès son arrivée, le ministre a commencé à « démettre » des gens.
« Nous alertons aujourd’hui l’opinion. Nous sommes en train de nous organiser ; s’il n’arrête pas ses pratiques, nous allons dérouler notre plan d’actions. Rien ne sera exclu », a précisé Mballo Dia Thiam.
Leral.net
« Nous attendions le nouveau ministre de la Santé sur des actes. Mais, nous avons constaté qu’il ne rassure pas. Parce qu’au lieu de s’occuper de l’essentiel, il se s’occupe des détails », a fait savoir Mballo Dia Thiam.
Le syndicaliste informe que les hôpitaux sont presque « asphyxiés » avec les dettes cumulées de la Couverture maladie universelle qui sont là. Les structures de santé qui sont restées presque 13 mois avec des arriérés, ne fonctionnent plus, a-t-il poursuivi.
A cela, il ajoute qu’il y a aussi le problème du personnel. « La commission nationale d’affectation a été convoquée sur le magistère d’Eva Marie Coll Seck. Ça fait six mois que les actes ne sont pas signés. Or, il y a un moment pour affecter les gens », a-t-il noté, soulignant que dès son arrivée, le ministre a commencé à « démettre » des gens.
« Nous alertons aujourd’hui l’opinion. Nous sommes en train de nous organiser ; s’il n’arrête pas ses pratiques, nous allons dérouler notre plan d’actions. Rien ne sera exclu », a précisé Mballo Dia Thiam.
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