Le dernier bilan du puissant séisme qui a secoué le Maroc vendredi soir s’établissait mardi après-midi à 2 901 morts et 5 530 blessés.
Les secouristes continuent de chercher des survivants dans les décombres, mais, plus de soixante-douze heures après la catastrophe, les espoirs s’amenuisent. L’épicentre du séisme est situé dans une zone montagneuse du Haut Atlas, où les éboulements rendent difficile l’accès aux villages sinistrés.
L’armée marocaine a installé des hôpitaux de campagne pour soigner les blessés dans les zones enclavées, comme dans le village d’Asni, dans la province sinistrée d’Al Haouz, à un peu plus d’une heure de Marrakech.
Le Maroc, actuellement en froid avec la France, n’a pas saisi la proposition d’aide de cette dernière, déclenchant un début de polémique. La ministre des affaires étrangères française, Catherine Colonna, a jugé la « querelle » « tout à fait déplacée » : « Le Maroc n’a refusé aucune aide, aucune proposition », a-t-elle assuré sur BFM-TV, rappelant que « le Maroc est souverain ».
Dimanche soir, le Maroc a annoncé avoir accepté les offres de quatre pays d’envoyer des équipes de recherche et sauvetage (Espagne, Royaume-Uni, Qatar et Emirats arabes unis). Madrid a annoncé lundi soir l’envoi de nouveaux sauveteurs en renfort.
Plusieurs organisations caritatives françaises ont lancé un appel à la générosité auprès du grand public. Parmi elles, le Secours populaire français, la Fondation de France, la Croix-Rouge, l’Unicef et CARE.
L’Egypte a décrété mardi trois jours de deuil national « en solidarité avec les Marocains et les Libyens », a rapporté la présidence, en hommage aux milliers de personnes mortes dans les inondations en Libye et le séisme au Maroc.
Les secouristes continuent de chercher des survivants dans les décombres, mais, plus de soixante-douze heures après la catastrophe, les espoirs s’amenuisent. L’épicentre du séisme est situé dans une zone montagneuse du Haut Atlas, où les éboulements rendent difficile l’accès aux villages sinistrés.
L’armée marocaine a installé des hôpitaux de campagne pour soigner les blessés dans les zones enclavées, comme dans le village d’Asni, dans la province sinistrée d’Al Haouz, à un peu plus d’une heure de Marrakech.
Le Maroc, actuellement en froid avec la France, n’a pas saisi la proposition d’aide de cette dernière, déclenchant un début de polémique. La ministre des affaires étrangères française, Catherine Colonna, a jugé la « querelle » « tout à fait déplacée » : « Le Maroc n’a refusé aucune aide, aucune proposition », a-t-elle assuré sur BFM-TV, rappelant que « le Maroc est souverain ».
Dimanche soir, le Maroc a annoncé avoir accepté les offres de quatre pays d’envoyer des équipes de recherche et sauvetage (Espagne, Royaume-Uni, Qatar et Emirats arabes unis). Madrid a annoncé lundi soir l’envoi de nouveaux sauveteurs en renfort.
Plusieurs organisations caritatives françaises ont lancé un appel à la générosité auprès du grand public. Parmi elles, le Secours populaire français, la Fondation de France, la Croix-Rouge, l’Unicef et CARE.
L’Egypte a décrété mardi trois jours de deuil national « en solidarité avec les Marocains et les Libyens », a rapporté la présidence, en hommage aux milliers de personnes mortes dans les inondations en Libye et le séisme au Maroc.