Le moins que l'on puisse dire est que le ministre ministre des Infrastructures, des Transports terrestres et du Désenclavement ne tire pas le diable par la queue à l'image de nombre de citoyens lambda. Autrement dit, Mansour Elimane Kane, puisqu'il s'agit de lui, trouve, pourrait on dire, son compte sous Macky Sall.
A preuve, M. le ministre érige, sans tambour ni trompette, son immeuble R + 9 sur la cité Keur Gorgui. Les radars fureteurs de dakarposte.com ont pu localiser le bien du ministre avant de la photographier aux fins disent ils d'étayer leur "découverte".
Comme disait l'autre, "kouy xalam dissa diayou", pour ainsi dire que cet ingénieur de formation devenu banquier puis ministre ne se plaint pas (touchons du bois). Que nenni, balaient en touche des Apéristes proches du ministre. Qui s'accordent à dire que "Mansour Elimane Kane menait déjà une vie stable bien avant sa nomination par le Pr Macky Sall. Il ne s'est pas fait sous ce régime"
.
Cela dit, pour la gouverne de nos lecteurs, M. Kane était jusque-là directeur des investissements pour l’Afrique à la Banque mondiale, avant sa nomination comme ministre. Il remplace Thierno Alassane Sall, précédemment titulaire du même poste, au sein de du nouveau gouvernement sénégalais.
Le nouveau ministre des Infrastructures, des Transports terrestres et du Désenclavement a fait ses études primaires à Ndioum, une commune du département de Podor (nord du Sénégal) dont il est originaire.
Mansour Elimane Kane a ensuite poursuivi ses études au lycée Blaise Diagne de Dakar où il a obtenu un Bac C, avec la mention «assez bien», avant de rejoindre le Maroc.
Il est revenu du royaume chérifien avec un diplôme d’ingénieur des mines, un sésame qui lui a ouvert les portes de la Compagnie sénégalaise des phosphates de Taïba (CSPT). Il y fut chef de département, puis est parti pour le Canada pour des études de troisième cycle.
Le nouveau ministre des Infrastructures, des Transports terrestres et du Désenclavement obtient au Canada un diplôme en ingénierie financière, complété par un doctorat aux Etats-Unis d’Amérique.
Nanti de tous ces diplômes, Mansour Elimane Kane rejoint le bercail pour travailler à Dakar comme vice-président à la City Bank. Il sera plus tard admis à la Banque mondiale.
A preuve, M. le ministre érige, sans tambour ni trompette, son immeuble R + 9 sur la cité Keur Gorgui. Les radars fureteurs de dakarposte.com ont pu localiser le bien du ministre avant de la photographier aux fins disent ils d'étayer leur "découverte".
Comme disait l'autre, "kouy xalam dissa diayou", pour ainsi dire que cet ingénieur de formation devenu banquier puis ministre ne se plaint pas (touchons du bois). Que nenni, balaient en touche des Apéristes proches du ministre. Qui s'accordent à dire que "Mansour Elimane Kane menait déjà une vie stable bien avant sa nomination par le Pr Macky Sall. Il ne s'est pas fait sous ce régime"
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Cela dit, pour la gouverne de nos lecteurs, M. Kane était jusque-là directeur des investissements pour l’Afrique à la Banque mondiale, avant sa nomination comme ministre. Il remplace Thierno Alassane Sall, précédemment titulaire du même poste, au sein de du nouveau gouvernement sénégalais.
Le nouveau ministre des Infrastructures, des Transports terrestres et du Désenclavement a fait ses études primaires à Ndioum, une commune du département de Podor (nord du Sénégal) dont il est originaire.
Mansour Elimane Kane a ensuite poursuivi ses études au lycée Blaise Diagne de Dakar où il a obtenu un Bac C, avec la mention «assez bien», avant de rejoindre le Maroc.
Il est revenu du royaume chérifien avec un diplôme d’ingénieur des mines, un sésame qui lui a ouvert les portes de la Compagnie sénégalaise des phosphates de Taïba (CSPT). Il y fut chef de département, puis est parti pour le Canada pour des études de troisième cycle.
Le nouveau ministre des Infrastructures, des Transports terrestres et du Désenclavement obtient au Canada un diplôme en ingénierie financière, complété par un doctorat aux Etats-Unis d’Amérique.
Nanti de tous ces diplômes, Mansour Elimane Kane rejoint le bercail pour travailler à Dakar comme vice-président à la City Bank. Il sera plus tard admis à la Banque mondiale.