Même si les autorités sénégalaises ne cessent d'exhiber les nouvelles infrastructures que sont le Train Express Régional (TER), l'Aéroport International Blais Diagne (AIBD) ou encore la mise en activité de la compagnie aérienne Air Sénégal Sa, ces projets ne fassent pas pour autant l'unanimité. A l'occasion de la présentation du Livre blanc de la Banque sur les transports et la logistique, Mme Louise Cord a fait part de sa désapprobation pour certains de ces projets.
Pour la directrice des Opérations de la Banque mondiale, les projets de TER reliant Dakar à l'AIBD, le projet de nouvelle compagnie aérienne Air Sénégal Sa, mais aussi le projet de ligne ferroviaire à grand écartement entre Dakar et le Mali " ne sont pas nécessaires". Selon nos confrères du "Quotidien" qui ont rapporté ses propos, ces projets qui nécessitent de gros moyens-par exemple l'achat d'avions pour le démarrage d'Air Sénégal Sa- ne convainquent pas la banque qui a d'ailleurs choisi de ne pas participer à leur financement. Mme Cord de soutenir dans les mêmes colonnes que des doutes pèsent sur la rentabilité de ces projets alors même que des régions entières du pays souffrent de l'enclavement.
"Est-ce que ça vaut le coût ?", s'est interrogée la directrice des Opérations de la Banque mondiale qui explique que "le danger c'est d'avoir beaucoup de projets, mais qui ne sont pas rentables et qui, de ce fait, demandent des investissements supplémentaires pour leur maintenance".
Pour la directrice des Opérations de la Banque mondiale, les projets de TER reliant Dakar à l'AIBD, le projet de nouvelle compagnie aérienne Air Sénégal Sa, mais aussi le projet de ligne ferroviaire à grand écartement entre Dakar et le Mali " ne sont pas nécessaires". Selon nos confrères du "Quotidien" qui ont rapporté ses propos, ces projets qui nécessitent de gros moyens-par exemple l'achat d'avions pour le démarrage d'Air Sénégal Sa- ne convainquent pas la banque qui a d'ailleurs choisi de ne pas participer à leur financement. Mme Cord de soutenir dans les mêmes colonnes que des doutes pèsent sur la rentabilité de ces projets alors même que des régions entières du pays souffrent de l'enclavement.
"Est-ce que ça vaut le coût ?", s'est interrogée la directrice des Opérations de la Banque mondiale qui explique que "le danger c'est d'avoir beaucoup de projets, mais qui ne sont pas rentables et qui, de ce fait, demandent des investissements supplémentaires pour leur maintenance".