Des estimations alarmantes suggèrent que près de 200 milliards de francs CFA provenant de sources douteuses circulent dans le secteur immobilier sénégalais. Ces fonds trouvent leur origine dans diverses activités criminelles, dont le trafic de drogue, et sont utilisés pour acquérir des biens immobiliers, offrant ainsi une façade légale à des activités illégales.
L'ampleur du problème est mise en évidence par le nombre croissant d'agences immobilières créées par des trafiquants de drogue au cours de la dernière décennie, qui servent de véritables machines à blanchir de l'argent sale. Des rapports indiquent que près de 96 % des investissements dans l'immobilier au Sénégal depuis 2013 ont des origines suspectes. De plus, environ un tiers des biens criminels saisis dans le pays sont des propriétés immobilières.
La situation est d'autant plus préoccupante que le Sénégal a été placé sur la liste grise du Groupe d'action financière (GAFI) en 2021, ce qui souligne la gravité du problème aux yeux de la communauté internationale. Être sur cette liste expose le pays à des conséquences économiques et politiques néfastes.
Face à cette situation alarmante, des mesures concrètes s'imposent de toute urgence. Le renforcement des contrôles sur les transactions immobilières et l'enquête sur les fonds suspects sont des étapes cruciales. De même, il est impératif d'accroître la transparence des agences immobilières et de sensibiliser les professionnels du secteur ainsi que le grand public aux risques associés au blanchiment d'argent.
Le Sénégal doit agir rapidement pour protéger son économie et sa réputation internationale. La lutte contre le blanchiment d'argent dans le secteur immobilier est un enjeu crucial pour l’avenir du pays.
leral
L'ampleur du problème est mise en évidence par le nombre croissant d'agences immobilières créées par des trafiquants de drogue au cours de la dernière décennie, qui servent de véritables machines à blanchir de l'argent sale. Des rapports indiquent que près de 96 % des investissements dans l'immobilier au Sénégal depuis 2013 ont des origines suspectes. De plus, environ un tiers des biens criminels saisis dans le pays sont des propriétés immobilières.
La situation est d'autant plus préoccupante que le Sénégal a été placé sur la liste grise du Groupe d'action financière (GAFI) en 2021, ce qui souligne la gravité du problème aux yeux de la communauté internationale. Être sur cette liste expose le pays à des conséquences économiques et politiques néfastes.
Face à cette situation alarmante, des mesures concrètes s'imposent de toute urgence. Le renforcement des contrôles sur les transactions immobilières et l'enquête sur les fonds suspects sont des étapes cruciales. De même, il est impératif d'accroître la transparence des agences immobilières et de sensibiliser les professionnels du secteur ainsi que le grand public aux risques associés au blanchiment d'argent.
Le Sénégal doit agir rapidement pour protéger son économie et sa réputation internationale. La lutte contre le blanchiment d'argent dans le secteur immobilier est un enjeu crucial pour l’avenir du pays.
leral