Nos sources sont plus que formelles: le Président de la République a décidé de se rendre "himself" à l'Ucad. "Sensible à la situation qui y prévaut depuis un certain temps, le chef de l'Etat, qui suit de près l'actualité, notamment les informations des R.G, entend recueillir ce vendredi les doléances des étudiants" nous soufflent nos radars au fait de ce qui se trame dans les coursives du Palais Présidentiel.
Aussi, ces conseillers, notamment politique lui auraient-ils suggéré de s'y rendre compte tenu du fait que l'Ucad n'en demeure pas moins un vivier électoral eu égard au nombre pléthorique d'étudiants. Qui y sont inscrits.
Inutile cependant d'être devin pour subodorer que les étudiants vont s'accorder à soulever la lancinante équation des bourses qui tardent à être payées. D'ailleurs, pas plus tard que ce mercredi matin des remous ont été notés à la devanture de l'Ucad. Des étudiants, mécontents du retard noté dans le paiement de leurs bourses ont barré la circulation. Il a fallu l'intervention des forces de l'ordre pour que la circulation reprenne.
Aussi, les étudiants évoqueront-ils la question des logements qui fait défaut. A preuve, ces derniers temps, des étudiants occupent les couloirs de la cité où ils se sont spontanément installés.
Aussi, ces conseillers, notamment politique lui auraient-ils suggéré de s'y rendre compte tenu du fait que l'Ucad n'en demeure pas moins un vivier électoral eu égard au nombre pléthorique d'étudiants. Qui y sont inscrits.
Inutile cependant d'être devin pour subodorer que les étudiants vont s'accorder à soulever la lancinante équation des bourses qui tardent à être payées. D'ailleurs, pas plus tard que ce mercredi matin des remous ont été notés à la devanture de l'Ucad. Des étudiants, mécontents du retard noté dans le paiement de leurs bourses ont barré la circulation. Il a fallu l'intervention des forces de l'ordre pour que la circulation reprenne.
Aussi, les étudiants évoqueront-ils la question des logements qui fait défaut. A preuve, ces derniers temps, des étudiants occupent les couloirs de la cité où ils se sont spontanément installés.