Une nouvelle étape a été franchie dansle bras de fer judiciaire qui oppose Kabirou Mbodjie aux autres fondateurs déclarés de Wari.
Selon les informations de Libération, le PDG de la sociétéde transfert d’argent a été inculpé parle juge du deuxième cabinet.
Entre Kabirou Mbodjie, Seyni Camara, Malick Fall et Cheikh Tague qui se déclarent co-actionnaires de Wari et d’Interactive, on se mène une guerre sans merci. Le 25 janvier 2016, c’est lepremier qui envoyait au tapis le trio lorsque la Cour d’appel lui a totalement donné
raison en annulant une décision rendue en première instance le 6 septembre 2011 et qui lui était dé- favorable. Et voilà que l’histoire semble en- core se répéter car, après cette première manche, une autre plainte avec constitution de partie civile a été confiée au juge du deuxième cabinet après paiementde la consignation et avis du parquet. Cette procédure vient de connaître un rebondissement et
pour cause.
Selon les informations de Libération, Kabirou Mbodjie a été inculpé en début de semaine parle juge du deuxième cabinet. Une inculpation que confirme Me Khassimou Touré joint au téléphone hier : « Oui, je confirme que monsieur Mbodjie a été inculpé par le
juge du deuxième cabinet etl’ins- truction suit son cours normal et la vérité va bientôt jaillir. Je tiens juste à préciser que même si mes
clients souffrentle martyr, ils gar- dent leur sérénité et leur dignité. Ils vont aller jusqu’au bout sans management. Ils croient à une
bonne administration et à une bonne distribution de la Justice. Le droit est plus fort que tout le monde. Monsieur Mbodjie a été
inculpé pour augmentation illégale de capital et abus de sociaux. »
L’inculpation ou mise en examen n’est que la notification de l’accusation. Enclair,pourlemoment, il n’y a aucune charge qui a été retenue contre le PDG de Wari qui s’est juste vu notifier les faits pour lesquels il est poursuivi. Des faits qu’il a nié et il aura l’attitude de
développer sonargumentaire lors de son audition dans le fond.
A la fin de son instruction, le juge décidera s’il doit le renvoyer devant un tribunal pour jugement où s’il doit bénéficier d’un non- lieu.
Cheikh Mbacké Guissé - Liberation
Selon les informations de Libération, le PDG de la sociétéde transfert d’argent a été inculpé parle juge du deuxième cabinet.
Entre Kabirou Mbodjie, Seyni Camara, Malick Fall et Cheikh Tague qui se déclarent co-actionnaires de Wari et d’Interactive, on se mène une guerre sans merci. Le 25 janvier 2016, c’est lepremier qui envoyait au tapis le trio lorsque la Cour d’appel lui a totalement donné
raison en annulant une décision rendue en première instance le 6 septembre 2011 et qui lui était dé- favorable. Et voilà que l’histoire semble en- core se répéter car, après cette première manche, une autre plainte avec constitution de partie civile a été confiée au juge du deuxième cabinet après paiementde la consignation et avis du parquet. Cette procédure vient de connaître un rebondissement et
pour cause.
Selon les informations de Libération, Kabirou Mbodjie a été inculpé en début de semaine parle juge du deuxième cabinet. Une inculpation que confirme Me Khassimou Touré joint au téléphone hier : « Oui, je confirme que monsieur Mbodjie a été inculpé par le
juge du deuxième cabinet etl’ins- truction suit son cours normal et la vérité va bientôt jaillir. Je tiens juste à préciser que même si mes
clients souffrentle martyr, ils gar- dent leur sérénité et leur dignité. Ils vont aller jusqu’au bout sans management. Ils croient à une
bonne administration et à une bonne distribution de la Justice. Le droit est plus fort que tout le monde. Monsieur Mbodjie a été
inculpé pour augmentation illégale de capital et abus de sociaux. »
L’inculpation ou mise en examen n’est que la notification de l’accusation. Enclair,pourlemoment, il n’y a aucune charge qui a été retenue contre le PDG de Wari qui s’est juste vu notifier les faits pour lesquels il est poursuivi. Des faits qu’il a nié et il aura l’attitude de
développer sonargumentaire lors de son audition dans le fond.
A la fin de son instruction, le juge décidera s’il doit le renvoyer devant un tribunal pour jugement où s’il doit bénéficier d’un non- lieu.
Cheikh Mbacké Guissé - Liberation