L'organisation terroriste assure ce lundi soir avoir libéré deux otages sur les 222 personnes retenues prisonnières.
Le porte-parole de la branche militaire du Hamas, Abou Obeida, a affirmé dans un communiqué que les deux otages avaient été libérées "pour des raisons humanitaires pressantes" grâce à une médiation du Qatar et de l'Egypte.
Le Hamas n'a pas précisé la nationalité des deux otages, laissant toutefois entendre qu'elle était israéliennes.
Le Comité international de la Croix-Rouge (CICR) a indiqué avoir facilité lundi soir la libération de deux otages supplémentaires, deux femmes, qui étaient retenus à Gaza.
Les médias israéliens donnaient l'identité des deux femmes, des octogénaires du kibboutz Nir Oz, Yocheved Lifshitz et Nourit Kuper, prises en otages avec leurs maris, lors de l'attaque du 7 octobre.
La presse égyptienne a indiqué que deux otages libérés par le Hamas étaient arrivées au terminal de Rafah, dans le sud de la bande de Gaza.
D'après les estimations des responsables du kibboutz, environ un quart de ses 400 habitants ont été tués, kidnappés ou sont portés disparus.
Le mouvement islamiste a accusé Israël d'avoir "violé à huit reprises les arrangements régissant l'opération de libération qui avaient été convenus avec les médiateurs pour qu'elle soit menée à bien".
Plus de 220 otages israéliens, et étrangers ou binationaux ont été recensés par Israël. Ils ont été enlevés et emmenés à Gaza par les islamistes du Hamas lors de l'attaque sanglante sans précédent le 7 octobre, qui a déclenché une guerre.
Décompte macabre
Un peu plus de deux semaines après les massacres du 7 octobre, l'heure est aux décomptes macabres et les pires craintes se confirment.
Après les 1 400 civils israéliens assassinés dans leurs kibboutzim, le Hamas revoit chaque jour à la hausse le bilan humain des frappes israéliennes sur l'enclave palestinienne.
Selon les derniers décomptes du ministère de la Santé de Gaza, plus de 5 000 Palestiniens ont été tués au cours depuis le début de la guerre.
Le Hamas assure que 2 000 enfants figurent au nombre des victimes et fait état de 15 000 personnes blessées.
De son côté, Tsahal maintient l'enclave palestinienne sous pression.
L'armée israélienne vise tout particulièrement les immeubles hauts qui pourraient abriter des snipers lorsqu'elle lancera son offensive terrestre.
Le porte-parole de la branche militaire du Hamas, Abou Obeida, a affirmé dans un communiqué que les deux otages avaient été libérées "pour des raisons humanitaires pressantes" grâce à une médiation du Qatar et de l'Egypte.
Le Hamas n'a pas précisé la nationalité des deux otages, laissant toutefois entendre qu'elle était israéliennes.
Le Comité international de la Croix-Rouge (CICR) a indiqué avoir facilité lundi soir la libération de deux otages supplémentaires, deux femmes, qui étaient retenus à Gaza.
Les médias israéliens donnaient l'identité des deux femmes, des octogénaires du kibboutz Nir Oz, Yocheved Lifshitz et Nourit Kuper, prises en otages avec leurs maris, lors de l'attaque du 7 octobre.
La presse égyptienne a indiqué que deux otages libérés par le Hamas étaient arrivées au terminal de Rafah, dans le sud de la bande de Gaza.
D'après les estimations des responsables du kibboutz, environ un quart de ses 400 habitants ont été tués, kidnappés ou sont portés disparus.
Le mouvement islamiste a accusé Israël d'avoir "violé à huit reprises les arrangements régissant l'opération de libération qui avaient été convenus avec les médiateurs pour qu'elle soit menée à bien".
Plus de 220 otages israéliens, et étrangers ou binationaux ont été recensés par Israël. Ils ont été enlevés et emmenés à Gaza par les islamistes du Hamas lors de l'attaque sanglante sans précédent le 7 octobre, qui a déclenché une guerre.
Décompte macabre
Un peu plus de deux semaines après les massacres du 7 octobre, l'heure est aux décomptes macabres et les pires craintes se confirment.
Après les 1 400 civils israéliens assassinés dans leurs kibboutzim, le Hamas revoit chaque jour à la hausse le bilan humain des frappes israéliennes sur l'enclave palestinienne.
Selon les derniers décomptes du ministère de la Santé de Gaza, plus de 5 000 Palestiniens ont été tués au cours depuis le début de la guerre.
Le Hamas assure que 2 000 enfants figurent au nombre des victimes et fait état de 15 000 personnes blessées.
De son côté, Tsahal maintient l'enclave palestinienne sous pression.
L'armée israélienne vise tout particulièrement les immeubles hauts qui pourraient abriter des snipers lorsqu'elle lancera son offensive terrestre.