Des explications fournies par le plaignant répondant au nom de Mamadou Cissokho, il ressort qu'il a eu à acheter un téléphone Samsung Galaxy Core 2 SMG-355 à 110.000 cfa à l'agence CCBM sise sur Liberté VI Extension avec une facture dont la durée de garantie est de deux ans. Mais, grande a été sa surprise de constater que le téléphone est tombé en panne un mois après. Cissokho leur amène l'appareil pour leur faire la remarque. "Ils m'ont dit que c'est un problème de pièce qui doit être commandée depuis l'étranger, précisément la Corée" a t'il expliqué.
A l'en croire, depuis lors, à chaque relance, ils lui disaient que la pièce était venue. "Mais, jamais ils ne m'ont appelé pour me dire de venir chez eux pour la réparation" fulmine t'il.
C'est ainsi qu'il décide de se rendre à l'agence CCBM où il a acheté le téléphone pour réclamer une réparation à défaut d'un remboursement de son argent. "J'étais dans mes droits eu égard que je suis dans la période équivalent à la durée de garantie (2 ans) et que je pouvais réclamer à l'agence tout manquement ou défection constaté sur l'appareil" argue Cissokho. "A ma grande surprise, ils m'ont répondu qu'ils ne pouvaient ni me rembourser encore moins réparer le portable. Alors que je leur ai proposé donc au moins qu'ils me remettent un autre téléphone de la même marque ou d'une marque différente mais d'un prix équivalent"
Devant le niet catégrorique dit Cissokho qu'il décide de porter plainte contre cette agence CCBM.
Interpellée par les limiers, la dame responsable de cette agence a confirmé les dires de Mamadou Cissokho, à savoir qu'il a bel et bien eu à acheter un téléphone de marque Samsung comme indiqué plutôt, mais a précisé que dans les show-room Samsung lorsqu'un client achète un téléphone et que survienne un problème quelconque, ce dernier est obligé de se présenter à la boutique 48 heures suivant la date de l'achat pour le signaler.
Seulement, le plaignant s'est présenté au delà des 48 heures. Selon la dame, la remarque lui a été faite. Elle dira avoir fait comprendre au plaignant qu'il devrait s'adresser au Service Après Vente de SAMSUNG. Qui, toujours, selon la dame, est un service à part et qui s'occupe des réparations entre autres services après vente.
Poursuivant, elle dira que lorsque ce service a été saisi par leurs soins, il a été constaté que la pièce de rechange qui permettrait de réparer le portable faisait défaut en ce moment là et qu'il fallait impérativement passer une commande de l'extérieur pour l'avoir à court terme.
Des explications fournies par la gérante de cette agence, le sieur Cissokho est alors revenu à la charge à maintes reprises pour demander que son portable soit réparé ou qu'on lui donne en échange un autre téléphone équivalent au prix de vente du mobile défectueux ou à défaut lui rendre son dû.
En somme, la gérante a soutenu mordicus qu'une fois vendu, l'appareil n'est plus de leur ressort mais du service après vente et qu'elle ne pouvait ni procéder à un remboursement encore moins lui octroyer un autre téléphone.
Mais, bizarrement il est écrit ceci sur la page web du groupe CCBM: L’echange
A l'en croire, depuis lors, à chaque relance, ils lui disaient que la pièce était venue. "Mais, jamais ils ne m'ont appelé pour me dire de venir chez eux pour la réparation" fulmine t'il.
C'est ainsi qu'il décide de se rendre à l'agence CCBM où il a acheté le téléphone pour réclamer une réparation à défaut d'un remboursement de son argent. "J'étais dans mes droits eu égard que je suis dans la période équivalent à la durée de garantie (2 ans) et que je pouvais réclamer à l'agence tout manquement ou défection constaté sur l'appareil" argue Cissokho. "A ma grande surprise, ils m'ont répondu qu'ils ne pouvaient ni me rembourser encore moins réparer le portable. Alors que je leur ai proposé donc au moins qu'ils me remettent un autre téléphone de la même marque ou d'une marque différente mais d'un prix équivalent"
Devant le niet catégrorique dit Cissokho qu'il décide de porter plainte contre cette agence CCBM.
Interpellée par les limiers, la dame responsable de cette agence a confirmé les dires de Mamadou Cissokho, à savoir qu'il a bel et bien eu à acheter un téléphone de marque Samsung comme indiqué plutôt, mais a précisé que dans les show-room Samsung lorsqu'un client achète un téléphone et que survienne un problème quelconque, ce dernier est obligé de se présenter à la boutique 48 heures suivant la date de l'achat pour le signaler.
Seulement, le plaignant s'est présenté au delà des 48 heures. Selon la dame, la remarque lui a été faite. Elle dira avoir fait comprendre au plaignant qu'il devrait s'adresser au Service Après Vente de SAMSUNG. Qui, toujours, selon la dame, est un service à part et qui s'occupe des réparations entre autres services après vente.
Poursuivant, elle dira que lorsque ce service a été saisi par leurs soins, il a été constaté que la pièce de rechange qui permettrait de réparer le portable faisait défaut en ce moment là et qu'il fallait impérativement passer une commande de l'extérieur pour l'avoir à court terme.
Des explications fournies par la gérante de cette agence, le sieur Cissokho est alors revenu à la charge à maintes reprises pour demander que son portable soit réparé ou qu'on lui donne en échange un autre téléphone équivalent au prix de vente du mobile défectueux ou à défaut lui rendre son dû.
En somme, la gérante a soutenu mordicus qu'une fois vendu, l'appareil n'est plus de leur ressort mais du service après vente et qu'elle ne pouvait ni procéder à un remboursement encore moins lui octroyer un autre téléphone.
Mais, bizarrement il est écrit ceci sur la page web du groupe CCBM: L’echange
En cas de pannes répétitives ou de retard de réparation (1 mois à partir de la date de dépôt de l’article au SAV), CCBM s’engage à assurer l’échange de l’article. En cas de non disponibilité du produit, un avoir correspondant au prix de l’article vous sera délivré.
Aux dernières nouvelles, l'affaire est encore pendante au niveau du tribunal civil.
A suivre donc...