En cas de réélection à un second mandat, le président Macky Sall pourrait bien augmenter les prix des produits pétroliers qu'il a décidé de maintenir en l'état. "Pour des raisons électoralistes", renseigne Dakar Times. Le canard note dans ses pages les exigences du Fmi en vue d'une augmentation des produits pétroliers, suite à la hausse du prix du baril de pétrole.
En effet, "les efforts déployés par le Sénégal dans le cadre du Plan Sénégal émergent (Pse) et appuyés par l'instrument de soutien à la politique économique (Ipse) ont contribué à accélérer la croissance tout en préservant la stabilité économique. La croissance a atteint 7,2% en 2017, tandis que l'inflation est restée faible et que le déficit budgétaire a été limité à 3% du Pib. Cependant, les finances publiques se sont détériorées parce que les prix intérieurs des produits énergétiques n'ont pas varié face à la hausse des prix internationaux. Cette détérioration a été quelque peu compensée par de nouvelles mesures, notamment une révision à la hausse du déficit budgétaire de 2018 à 3,5%", signale le Fmi dans son rapport exploité par le quotidien.
Lequel rappelle que le Fmi qui refuse l'investissement total de 1200 milliards de l'Eurobond dans l'exercice budgétaire en cours, continue d'exiger du Sénégal une hausse des prix.
"Sur le plan interne, le manque de progrès sur des questions budgétaires structurelles telles que la mobilisation des recettes, les subventions énergétiques et les réformes visant à réduire davantage les besoins de financement supplémentaire pourraient compromettre la viabilité de finances publiques", souligne le document. Et pour cela, il faut impérativement augmenter les prix, conclut le journal.
En effet, "les efforts déployés par le Sénégal dans le cadre du Plan Sénégal émergent (Pse) et appuyés par l'instrument de soutien à la politique économique (Ipse) ont contribué à accélérer la croissance tout en préservant la stabilité économique. La croissance a atteint 7,2% en 2017, tandis que l'inflation est restée faible et que le déficit budgétaire a été limité à 3% du Pib. Cependant, les finances publiques se sont détériorées parce que les prix intérieurs des produits énergétiques n'ont pas varié face à la hausse des prix internationaux. Cette détérioration a été quelque peu compensée par de nouvelles mesures, notamment une révision à la hausse du déficit budgétaire de 2018 à 3,5%", signale le Fmi dans son rapport exploité par le quotidien.
Lequel rappelle que le Fmi qui refuse l'investissement total de 1200 milliards de l'Eurobond dans l'exercice budgétaire en cours, continue d'exiger du Sénégal une hausse des prix.
"Sur le plan interne, le manque de progrès sur des questions budgétaires structurelles telles que la mobilisation des recettes, les subventions énergétiques et les réformes visant à réduire davantage les besoins de financement supplémentaire pourraient compromettre la viabilité de finances publiques", souligne le document. Et pour cela, il faut impérativement augmenter les prix, conclut le journal.