Accompagné de ses plus proches collaborateurs, le Dg de l'ARTP faisait un état des lieux, qui entre dans l'ordre normal des choses. Et, c'est devant les reporters sur place, notamment ceux de dakarposte.com que M. Sall, apparemment insatisfait de l'état des lieux, cache mal son amertume.
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Faisant la genèse de cette affaire que d'aucuns appellent prosaïquement les "immeubles litigieux de l'ARTP", Abdou Karim Sall a rappelé qu'entre les deux entreprises (ARTP et TRE) existe des relations contractuelles préétablies.
En fait, la construction de ces immeubles a été engagée depuis belle lurette pour l'Artp par l’ancien directeur général de l’Agence de Régulation des Télécommunications et des Postes (ARTP), N'dongo Diaw avec le puissant homme d’affaires proche de l’ancien régime, en l'occurrence Cheikh Amar.
Ces immeubles, selon l'actuel administrateur de l'Artp, ont été entièrement payés par l’ancien Dg N'dongo Diaw pour la bagatelle de... 8.200.000.000 CFA. Seulement, Cheikh Amar n'a pas respecté ses engagements.
Selon Abdou Karim Sall, le promoteur (Cheikh Amar) et leurs équipes respectives se sont rencontrés à maintes reprises, mais à la date du 17 septembre 2014, Cheikh Amar avait prit l'engagement de livrer les deux immeubles à la date du 31 décembre 2014. "Mais, depuis lors, c'est le silence radio" fait savoir le Dg de l'ARTP.
A en croire, Abdou Karim Sall, non seulement, les délais de livraison n'ont pas été respecté, mais le promoteur a coupé tout contact avec ses services. "M. Faye avec lequel il nous avait mit en relation ne répond pas à nos appels encore moins à nos mails de relance" révèle M. Sall. Qui, annonce des pénalités pour le préjudice subie contre TRE sous la coupe de l'homme d'affaires Cheikh Amar.
"Quand je suis arrivé j'ai notifié à Tre l'ensemble des pénalités que constituent le préjudice, je veux dire les retards et je vous annonce que chaque jour de retard a été facturé et continuera d'être facturé. Je ne peux vous révéler le montant des pénalités, mais le service recouvrement de l'ARTP s'y atèle" laissera entendre le successeur de Thierno Sall à l'ARTP. Non sans fulminer le fait que TRE ait failli alors que les deux parties ont aménagé noir/blanc le contenu du contrat en ce qui concerne les obligations qu'il contient.
En somme, la balle reste dans le camp de Dame Justice, "qui devra sanctionner pour non respect des clauses du contrat".
Pour rappel, ayant pris les manettes de l'Artp, à la faveur d'une nomination, Thierno Alassane Sall avait d'ailleurs tenu une conférence de presse au cours de laquelle, il a également réclamé ses immeubles. Dans la foulée, il avait promis de porter plainte contre le promoteur Cheikh Amar, mais depuis lors, silence radio. Le dossier végétera sous Abou Lo, jusqu'à la nomination d'Abdou Karim Sall. C'est dire que ceux subodorent déjà une neutralisation de toute sanction eu égard aux relations devenues tout sucre, tout miel entre le Président de la République et Cheikh Amar, n'ont pas tout faux.
Quoi qu'il en soit, le Dg de l'ARTP semble déterminé à aller jusqu'au bout.
Affaire à suivre...
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Faisant la genèse de cette affaire que d'aucuns appellent prosaïquement les "immeubles litigieux de l'ARTP", Abdou Karim Sall a rappelé qu'entre les deux entreprises (ARTP et TRE) existe des relations contractuelles préétablies.
En fait, la construction de ces immeubles a été engagée depuis belle lurette pour l'Artp par l’ancien directeur général de l’Agence de Régulation des Télécommunications et des Postes (ARTP), N'dongo Diaw avec le puissant homme d’affaires proche de l’ancien régime, en l'occurrence Cheikh Amar.
Ces immeubles, selon l'actuel administrateur de l'Artp, ont été entièrement payés par l’ancien Dg N'dongo Diaw pour la bagatelle de... 8.200.000.000 CFA. Seulement, Cheikh Amar n'a pas respecté ses engagements.
Selon Abdou Karim Sall, le promoteur (Cheikh Amar) et leurs équipes respectives se sont rencontrés à maintes reprises, mais à la date du 17 septembre 2014, Cheikh Amar avait prit l'engagement de livrer les deux immeubles à la date du 31 décembre 2014. "Mais, depuis lors, c'est le silence radio" fait savoir le Dg de l'ARTP.
A en croire, Abdou Karim Sall, non seulement, les délais de livraison n'ont pas été respecté, mais le promoteur a coupé tout contact avec ses services. "M. Faye avec lequel il nous avait mit en relation ne répond pas à nos appels encore moins à nos mails de relance" révèle M. Sall. Qui, annonce des pénalités pour le préjudice subie contre TRE sous la coupe de l'homme d'affaires Cheikh Amar.
"Quand je suis arrivé j'ai notifié à Tre l'ensemble des pénalités que constituent le préjudice, je veux dire les retards et je vous annonce que chaque jour de retard a été facturé et continuera d'être facturé. Je ne peux vous révéler le montant des pénalités, mais le service recouvrement de l'ARTP s'y atèle" laissera entendre le successeur de Thierno Sall à l'ARTP. Non sans fulminer le fait que TRE ait failli alors que les deux parties ont aménagé noir/blanc le contenu du contrat en ce qui concerne les obligations qu'il contient.
En somme, la balle reste dans le camp de Dame Justice, "qui devra sanctionner pour non respect des clauses du contrat".
Pour rappel, ayant pris les manettes de l'Artp, à la faveur d'une nomination, Thierno Alassane Sall avait d'ailleurs tenu une conférence de presse au cours de laquelle, il a également réclamé ses immeubles. Dans la foulée, il avait promis de porter plainte contre le promoteur Cheikh Amar, mais depuis lors, silence radio. Le dossier végétera sous Abou Lo, jusqu'à la nomination d'Abdou Karim Sall. C'est dire que ceux subodorent déjà une neutralisation de toute sanction eu égard aux relations devenues tout sucre, tout miel entre le Président de la République et Cheikh Amar, n'ont pas tout faux.
Quoi qu'il en soit, le Dg de l'ARTP semble déterminé à aller jusqu'au bout.
Affaire à suivre...