Dans leur livraison de ce vendredi 1er Avril 2016, nos confrères de Libération nous apprennent que la Justice Française a encore rejetée une demande de sortie du territoire français introduite par l’ancien président de l’IAAF, doublement mis en examen pour corruption présumée entre novembre et décembre 2015.
Cinq mois après sa première mise en examen donc, Lamine Diack ne peut pas quitter le territoire français en raison d’un contrôle judiciaire assorti d’un contrôle judiciaire. Pourtant, il a dû cautionner 140.000 euros (91,8 millions F Cfa) dès que sa première inculpation lui a été notifiée.
En vérité, des sources françaises autorisées renseignent que tant que Pape Massata Diack ne se rendra pas, il n’y a aucune chance pour que son père puisse sortir du territoire français.
En effet, l’ancien consultant marketing de l’IAAF qui a échappé à une inculpation parce qu’il n’était pas en France lorsque les juges procédaient aux interpellations de Lamine Diack,Habib Cissé et Grabiel Dolé,est aujourd'hui sous le coup d’un mandat d’arrêt international de la Justice française. Massata qui a dénoncé les conditions dans lesquelles son père a été interpellé - il a été cueilli à Hilton Roissy - a clairement fait sa- voir qu’il se rendra pas à la Justice française. «Lamine Diack est aujourd’hui un otage», fulmine un de ses proches.
Qui plus, l’ancien patron de l’IAAF est sous le coup d’une troisième procédure dans laquelle il sera interrogé dans les prochains jours. La Justice française a élargi leur enquête sur la corruption en athlétisme pour y inclure l’attribution des Jeux Olympiques d’été de 2016 et de 2020. En janvier, The Guardian a assuré avoir vu des courriels liant le fils de Lamine Diack, à des ‘’colis’’ allégués devant être distribués à six membres du CIO pendant la période de mises en candidature en vue de l’octroi des Jeux d’été de 2016. Ces courriels ont été envoyés par
Papa Massata Diack à un homme d’affaires qatari en mai 2008, a indiqué le quotidien. La capitale du Qatar,Doha,était alors dans la course pour l’obtention des JO de 2016.
Cinq mois après sa première mise en examen donc, Lamine Diack ne peut pas quitter le territoire français en raison d’un contrôle judiciaire assorti d’un contrôle judiciaire. Pourtant, il a dû cautionner 140.000 euros (91,8 millions F Cfa) dès que sa première inculpation lui a été notifiée.
En vérité, des sources françaises autorisées renseignent que tant que Pape Massata Diack ne se rendra pas, il n’y a aucune chance pour que son père puisse sortir du territoire français.
En effet, l’ancien consultant marketing de l’IAAF qui a échappé à une inculpation parce qu’il n’était pas en France lorsque les juges procédaient aux interpellations de Lamine Diack,Habib Cissé et Grabiel Dolé,est aujourd'hui sous le coup d’un mandat d’arrêt international de la Justice française. Massata qui a dénoncé les conditions dans lesquelles son père a été interpellé - il a été cueilli à Hilton Roissy - a clairement fait sa- voir qu’il se rendra pas à la Justice française. «Lamine Diack est aujourd’hui un otage», fulmine un de ses proches.
Qui plus, l’ancien patron de l’IAAF est sous le coup d’une troisième procédure dans laquelle il sera interrogé dans les prochains jours. La Justice française a élargi leur enquête sur la corruption en athlétisme pour y inclure l’attribution des Jeux Olympiques d’été de 2016 et de 2020. En janvier, The Guardian a assuré avoir vu des courriels liant le fils de Lamine Diack, à des ‘’colis’’ allégués devant être distribués à six membres du CIO pendant la période de mises en candidature en vue de l’octroi des Jeux d’été de 2016. Ces courriels ont été envoyés par
Papa Massata Diack à un homme d’affaires qatari en mai 2008, a indiqué le quotidien. La capitale du Qatar,Doha,était alors dans la course pour l’obtention des JO de 2016.