Et, l'on reparle de la situation chez nos voisins Gambiens pour vous filer la der des fers!
Comme dakarposte.com l'annonçait, depuis tôt ce matin, le ministre Nigérian des Affaires Étrangères Geoffrey Jideofor Onyeama et ses experts avaient commencé les travaux avec les plénipotentiaires de l'opposition dirigée par le Président élu Adama Barrow.
De nos réseaux de renseignements, qui ont infiltré les pourparlers nous tenons que cette concertation a eu pour cadre le somptueux cadre du Coco Océan Resort and Spa de Sénégambia en attendant l'arrivée de la délégation des chefs d'état mandatés par la CEDEAO.
C'est à pas de charge que les chefs d'état mandataires ont débuté avec Adama Barrow et 5 autres leaders de l'opposition dont Halifa Sallah, le doyen Ousainou Darboe .
À noter que l'égérie de l'opposition Fatu Jallow Tambajan n'a pas été autorisée à accéder à la salle des négociations.
Pour rappel, les menaces qui ont fait revenir le Président Jammeh sur ces pas viennent de cette dame qui a été une conseillère du premier président de la Gambie Daouda Kaïraba Diawara.
La délégation communautaire composée de la présidente Ellen Johnson-Sirleaf du Libéria, qui est en meme temps de présidente en exercice de la CEDEAO ,le président Ernest Bai Koroma de la Sierra-Leone,Muhammad Buhari du Nigéria de même que le président sortant Ghanaéen John Mahama ont été reçus à l'aéroport par le vice-président de la Gambie, Isatou Njie Saidy.
Depuis 14h ,ses plénipotentiaires sont à State House siège de la présidence Gambienne pour s'entretenir avec l'autocrate Yaya Jammeh.
Cette rencontre est la plus attendue des gambiens et de la communauté internationale car le président sortant est en train de jouer son va -tout et sait que cette délégation est l'unique bouée de secours pour lui et ses proches.
D'ailleurs très tôt, les cadres du parti de Jammeh ont exigé une loi d'amnistie générale à défaut d'organiser de nouvelles élections. Et pour enfoncer le clou, certains proches de Jammeh mettent la pression en demandant un report de la passation de pouvoir jusqu'à nomination des membres de la Magistrate Court seules habilités à donner un caractère légal à l'installation d'un président de la république.
Comme pour dire que les envoyés de la CEDEAO ont du pain sur la planche.
Nous y reviendrons au fur et à mesure que les nouvelles nous parviendront de Banjul qui est devenue la capitale de la CEDEAO.
Comme dakarposte.com l'annonçait, depuis tôt ce matin, le ministre Nigérian des Affaires Étrangères Geoffrey Jideofor Onyeama et ses experts avaient commencé les travaux avec les plénipotentiaires de l'opposition dirigée par le Président élu Adama Barrow.
De nos réseaux de renseignements, qui ont infiltré les pourparlers nous tenons que cette concertation a eu pour cadre le somptueux cadre du Coco Océan Resort and Spa de Sénégambia en attendant l'arrivée de la délégation des chefs d'état mandatés par la CEDEAO.
C'est à pas de charge que les chefs d'état mandataires ont débuté avec Adama Barrow et 5 autres leaders de l'opposition dont Halifa Sallah, le doyen Ousainou Darboe .
À noter que l'égérie de l'opposition Fatu Jallow Tambajan n'a pas été autorisée à accéder à la salle des négociations.
Pour rappel, les menaces qui ont fait revenir le Président Jammeh sur ces pas viennent de cette dame qui a été une conseillère du premier président de la Gambie Daouda Kaïraba Diawara.
La délégation communautaire composée de la présidente Ellen Johnson-Sirleaf du Libéria, qui est en meme temps de présidente en exercice de la CEDEAO ,le président Ernest Bai Koroma de la Sierra-Leone,Muhammad Buhari du Nigéria de même que le président sortant Ghanaéen John Mahama ont été reçus à l'aéroport par le vice-président de la Gambie, Isatou Njie Saidy.
Depuis 14h ,ses plénipotentiaires sont à State House siège de la présidence Gambienne pour s'entretenir avec l'autocrate Yaya Jammeh.
Cette rencontre est la plus attendue des gambiens et de la communauté internationale car le président sortant est en train de jouer son va -tout et sait que cette délégation est l'unique bouée de secours pour lui et ses proches.
D'ailleurs très tôt, les cadres du parti de Jammeh ont exigé une loi d'amnistie générale à défaut d'organiser de nouvelles élections. Et pour enfoncer le clou, certains proches de Jammeh mettent la pression en demandant un report de la passation de pouvoir jusqu'à nomination des membres de la Magistrate Court seules habilités à donner un caractère légal à l'installation d'un président de la république.
Comme pour dire que les envoyés de la CEDEAO ont du pain sur la planche.
Nous y reviendrons au fur et à mesure que les nouvelles nous parviendront de Banjul qui est devenue la capitale de la CEDEAO.