Il y a 126 ans, la tour Eiffel a été érigée dans un contexte de progrès industriels, fière représentante d'une France qui accueillait alors l'Exposition Universelle de 1889. En 2015, c'est concernée par les conséquences de ces progrès que la Mairie de Paris fait de l'édifice un symbole de la prise de conscience du danger climatique.
Ainsi, la dame de fer va se mettre au vert, avec des installations entre novembre et décembre 2015. La Mairie a publié ce lundi un communiqué annonçant ces projets surprenants, mêlant technologie et développement durable.
Un coeur, un arbre, une tour
L'artiste belgo-tunisienne Naziha Mestaou, formée en architecture, travaille depuis trois ans sur l'oeuvre "One Heart On Tree" qui va voir le jour du 28 novembre au 3 décembre, se projetant sur la structure bien connue de la tour Eiffel. "Planter une graine de lumière" via une application smartphone, qui donnera ensuite naissance à un arbre virtuel, est la première étape de ce projet collectif. L'arbre grandit grâce aux battements du coeur de l'utilisateur, puis permet par la même occasion la plantation d'un "vrai" arbre, porté par l'association Pur Project, quelque part dans le monde. Pour voir son nom s'afficher sur l'iconique ouvrage, une somme de 3 à 10 euros doit être déboursée.
Générateur humain
Qui n'a pas déjà souri, en observant dans les gares SNCF, des voyageurs en attente de trains, pédalant à toute allure pour recharger leur smartphone? Du 5 au 12 décembre, l'objectif paraîtra plus ludique et l'action moins isolée, puisque c'est la tour Eiffel que l'on pourra éclairer à l'aide de nos jambes. L'artiste Yann Toma, qui s'intéresse aux notions de connexions et de liens dans sa création, propose cette "oeuvre d'art participative" de grande ampleur. C'est en dansant, sautant, pédalant, ou marchant pour les plus timorés, que les participants pourront générer l'énergie nécessaire pour allumer le monument.
Ainsi, la dame de fer va se mettre au vert, avec des installations entre novembre et décembre 2015. La Mairie a publié ce lundi un communiqué annonçant ces projets surprenants, mêlant technologie et développement durable.
Un coeur, un arbre, une tour
L'artiste belgo-tunisienne Naziha Mestaou, formée en architecture, travaille depuis trois ans sur l'oeuvre "One Heart On Tree" qui va voir le jour du 28 novembre au 3 décembre, se projetant sur la structure bien connue de la tour Eiffel. "Planter une graine de lumière" via une application smartphone, qui donnera ensuite naissance à un arbre virtuel, est la première étape de ce projet collectif. L'arbre grandit grâce aux battements du coeur de l'utilisateur, puis permet par la même occasion la plantation d'un "vrai" arbre, porté par l'association Pur Project, quelque part dans le monde. Pour voir son nom s'afficher sur l'iconique ouvrage, une somme de 3 à 10 euros doit être déboursée.
Générateur humain
Qui n'a pas déjà souri, en observant dans les gares SNCF, des voyageurs en attente de trains, pédalant à toute allure pour recharger leur smartphone? Du 5 au 12 décembre, l'objectif paraîtra plus ludique et l'action moins isolée, puisque c'est la tour Eiffel que l'on pourra éclairer à l'aide de nos jambes. L'artiste Yann Toma, qui s'intéresse aux notions de connexions et de liens dans sa création, propose cette "oeuvre d'art participative" de grande ampleur. C'est en dansant, sautant, pédalant, ou marchant pour les plus timorés, que les participants pourront générer l'énergie nécessaire pour allumer le monument.