7 000 agents de sécurité de proximité (Asp) seront à la rue au mois de mars prochain. Pour cause, c’est la fin de contrat de la première génération, relate ce jeudi, Les Echos. D’ailleurs le quotidien de Front Terre précise que c’est le rapport d’activités du Ministère de l’Intérieur qui a vendu la mèche.
Dans ledit document, il est écrit que «plusieurs postes sont tenus par des Asp au niveau de l’Administration de l’Agence. Ceci, s’explique par l’insuffisance du personnel toutes catégories confondues, malgré les recrutements opérés». Et, ce n’est qu’une démobilisation dans ce contexte sociopolitique.
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