La journaliste italienne Cecilia Sala a été libérée et est rentrée chez elle dans la capitale italienne mercredi, après avoir passé trois semaines dans une prison iranienne.
Un avion transportant la journaliste de 29 ans a atterri à l'aéroport Ciampino de Rome. Elle a été accueillie par les membres de sa famille et son compagnon.
La Première ministre italienne Giorgia Meloni, ainsi que le ministre des Affaires étrangères, Antonio Tajani, et le maire de Rome, Roberto Gualtieri, étaient également présents pour accueillir Cecilia Sala et sa famille.
Cecilia Sala a été détenue en Iran pendant trois semaines, dont la majeure partie à l'isolement.
Son arrestation à Téhéran le 19 décembre est intervenue trois jours seulement après que l'homme d'affaires iranien Mohammad Abedini a été arrêté à Milan en vertu d'un mandat d'arrêt américain.
Washington avait demandé l'arrestation de ce dernier et d'un autre ressortissant iranien pour avoir prétendument fourni des pièces de drones qui auraient été utilisées dans un attentat qui a coûté la vie à trois soldats américains en Jordanie l'année dernière, dans lequel l'Iran nie toute implication.
Arrestation d'un ressortissant iranien en Italie
Cecilia Sala, qui travaille comme reporter pour le quotidien Il Foglio, a été arrêtée une semaine seulement après son arrivée dans la capitale iranienne avec un visa de journaliste. Elle a été accusée d'avoir enfreint les lois de la République islamique, selon l'agence de presse gouvernementale IRNA.
Des analystes italiens avaient émis l'hypothèse que l'Iran voulait utiliser la journaliste comme monnaie d'échange pour obtenir la libération de Mohammad Abedini, des accusations encore une fois rejetées par Téhéran.
Mohammad Abedini, qui a été arrêté le 16 décembre à l'aéroport Malpensa de Milan, est toujours détenu en Italie. Il a demandé à un tribunal milanais de l'assigner à résidence dans l'attente d'une audience d'extradition.
Le bureau de Giorgia Meloni affirme que la Première ministre a personnellement informé les parents de Cecilia Sala de la libération de leur fille, attribuant celle-ci au "travail intensif du gouvernement sur les canaux diplomatiques et de renseignement".
Cecilia Sala a publié jeudi matin sa première réaction après son retour en Italie, se disant "pleine de gratitude".
"Je n'aurais jamais pensé, au cours de ces 21 jours, que je serais à la maison aujourd'hui. Je vous remercie", ajoute-t-elle.
Une victoire pour la Première ministre italienne
La libération de la journaliste italienne constitue une victoire diplomatique et politique majeure pour Giorgia Meloni.
La dirigeante italienne, dont la récente visite au président américain élu Donald Trump dans sa propriété de Mar-a-Lago, a considérablement renforcé sa position internationale.
L'arrivée de Cecilia Sala a été accueillie par des acclamations en Italie, où son sort a fait la une des journaux pendant des semaines. Les législateurs de tous les bords politiques ont salué sa libération.
Elly Schlein, cheffe de file des démocrates de l'opposition, a remercié le gouvernement pour les efforts qu'il a déployés afin d'assurer le retour en toute sécurité de la journaliste italienne.
Un avion transportant la journaliste de 29 ans a atterri à l'aéroport Ciampino de Rome. Elle a été accueillie par les membres de sa famille et son compagnon.
La Première ministre italienne Giorgia Meloni, ainsi que le ministre des Affaires étrangères, Antonio Tajani, et le maire de Rome, Roberto Gualtieri, étaient également présents pour accueillir Cecilia Sala et sa famille.
Cecilia Sala a été détenue en Iran pendant trois semaines, dont la majeure partie à l'isolement.
Son arrestation à Téhéran le 19 décembre est intervenue trois jours seulement après que l'homme d'affaires iranien Mohammad Abedini a été arrêté à Milan en vertu d'un mandat d'arrêt américain.
Washington avait demandé l'arrestation de ce dernier et d'un autre ressortissant iranien pour avoir prétendument fourni des pièces de drones qui auraient été utilisées dans un attentat qui a coûté la vie à trois soldats américains en Jordanie l'année dernière, dans lequel l'Iran nie toute implication.
Arrestation d'un ressortissant iranien en Italie
Cecilia Sala, qui travaille comme reporter pour le quotidien Il Foglio, a été arrêtée une semaine seulement après son arrivée dans la capitale iranienne avec un visa de journaliste. Elle a été accusée d'avoir enfreint les lois de la République islamique, selon l'agence de presse gouvernementale IRNA.
Des analystes italiens avaient émis l'hypothèse que l'Iran voulait utiliser la journaliste comme monnaie d'échange pour obtenir la libération de Mohammad Abedini, des accusations encore une fois rejetées par Téhéran.
Mohammad Abedini, qui a été arrêté le 16 décembre à l'aéroport Malpensa de Milan, est toujours détenu en Italie. Il a demandé à un tribunal milanais de l'assigner à résidence dans l'attente d'une audience d'extradition.
Le bureau de Giorgia Meloni affirme que la Première ministre a personnellement informé les parents de Cecilia Sala de la libération de leur fille, attribuant celle-ci au "travail intensif du gouvernement sur les canaux diplomatiques et de renseignement".
Cecilia Sala a publié jeudi matin sa première réaction après son retour en Italie, se disant "pleine de gratitude".
"Je n'aurais jamais pensé, au cours de ces 21 jours, que je serais à la maison aujourd'hui. Je vous remercie", ajoute-t-elle.
Une victoire pour la Première ministre italienne
La libération de la journaliste italienne constitue une victoire diplomatique et politique majeure pour Giorgia Meloni.
La dirigeante italienne, dont la récente visite au président américain élu Donald Trump dans sa propriété de Mar-a-Lago, a considérablement renforcé sa position internationale.
L'arrivée de Cecilia Sala a été accueillie par des acclamations en Italie, où son sort a fait la une des journaux pendant des semaines. Les législateurs de tous les bords politiques ont salué sa libération.
Elly Schlein, cheffe de file des démocrates de l'opposition, a remercié le gouvernement pour les efforts qu'il a déployés afin d'assurer le retour en toute sécurité de la journaliste italienne.