Toutes les heures à peu près, on entend des frappes un peu partout au Liban. Certes, la dégradation fulgurante de la situation a pris tout le monde de court, mais d'aucuns, notamment les Sénégalais établis là-bas s'interrogent sur l'indifférence des plus hautes autorités du pays.
En effet, plusieurs Sénégalais en restent comme deux ronds de flan (c'est à dire très étonnés), confus. " Je ne sais pas ce qu'on attend de plus que ça pour évacuer nos parents bloqués au Liban?", s'interroge une fille qui soutient que sa nièce s'y trouve. "Les Libanais mêmes cherchent des voies et moyens pour quitter leur pays" renchérit-elle.
Il est donc naturel en raison de cette situation sécuritaire dangereuse, que les fils du pays résidant au Liban, notamment dans les villes ciblées par les raids, ressentent de l’inquiétude et de la peur pour leur sécurité et celle des membres de leurs familles les accompagnant .
Logiquement, le consulat devait contacter les Sénégalais, établir des listes en fonction des priorités car ça commence à être compliqué, les bombardements sont nombreux, surtout à Beyrouth. On les entend dans tous les quartiers Libanais.
Donc, ceux qui sont aux commandes de l'Exécutif feraient mieux de s'efforcer à rapatrier les citoyens Sénégalais.
En effet, plusieurs Sénégalais en restent comme deux ronds de flan (c'est à dire très étonnés), confus. " Je ne sais pas ce qu'on attend de plus que ça pour évacuer nos parents bloqués au Liban?", s'interroge une fille qui soutient que sa nièce s'y trouve. "Les Libanais mêmes cherchent des voies et moyens pour quitter leur pays" renchérit-elle.
Il est donc naturel en raison de cette situation sécuritaire dangereuse, que les fils du pays résidant au Liban, notamment dans les villes ciblées par les raids, ressentent de l’inquiétude et de la peur pour leur sécurité et celle des membres de leurs familles les accompagnant .
Logiquement, le consulat devait contacter les Sénégalais, établir des listes en fonction des priorités car ça commence à être compliqué, les bombardements sont nombreux, surtout à Beyrouth. On les entend dans tous les quartiers Libanais.
Donc, ceux qui sont aux commandes de l'Exécutif feraient mieux de s'efforcer à rapatrier les citoyens Sénégalais.