À l’issue d’une audience au Tribunal de grande instance (TGI) de Paris qui s’est tenue lundi 27 juin, le parquet français a jugé recevable la demande d’entraide judiciaire formulée par le Sénégal concernant l’affaire Karim Wade.
Autrement dit, selon le parquet, sa condamnation par la Cour de répression de l’enrichissement illicite (CREI) en mars 2015, pourrait être exécutée en France. Une position à laquelle s’opposent les avocats du fils de l’ancien président sénégalais, qui ont également été entendus par le tribunal.
Karim Wade a bien été gracié par le chef de l’État Macky Sall dans la nuit de jeudi à vendredi, mais cette mesure n’efface pas les sanctions financières et la procédure de recouvrement engagées contre lui. Ses biens (voitures, appartements, comptes bancaires…) devraient donc être saisis, au Sénégal ou en France, et il doit encore 210 millions d’euros au Trésor sénégalais.
Le tribunal rendra son verdict le 26 septembre prochain au sujet des biens détenus en France par le fils de l’ancien chef de l’État sénégalais.
Autrement dit, selon le parquet, sa condamnation par la Cour de répression de l’enrichissement illicite (CREI) en mars 2015, pourrait être exécutée en France. Une position à laquelle s’opposent les avocats du fils de l’ancien président sénégalais, qui ont également été entendus par le tribunal.
Karim Wade a bien été gracié par le chef de l’État Macky Sall dans la nuit de jeudi à vendredi, mais cette mesure n’efface pas les sanctions financières et la procédure de recouvrement engagées contre lui. Ses biens (voitures, appartements, comptes bancaires…) devraient donc être saisis, au Sénégal ou en France, et il doit encore 210 millions d’euros au Trésor sénégalais.
Le tribunal rendra son verdict le 26 septembre prochain au sujet des biens détenus en France par le fils de l’ancien chef de l’État sénégalais.