Comme annoncé en exclusivité par dakarposte quelques heures avant son élargissement, Karim Wade est libre comme le vent. Sa libération, loin d'être un coup de dés, autrement dit réglée comme sur du papier à musique ne "blanchit" pas, du tout alors Wade fils. En clair, quoi que gracié, Karim Wade continue de trainer la "tache" de sa condamnation ( 6 ans de prison ferme assortie d’une amande de 138 milliards).
En clair, la condamnation qui figure encore dans la case 3 de son casier judiciaire l'écarte de facto de sa candidature aux joutes Présidentielles de 2019. Or, tout candidat qui aspire briguer la magistrature suprême à l'image d'un Karim Wade déclaré candidat du PDS, est tenu de joindre dans son dossier de candidature, un formulaire de casier judiciaire ...vierge. Malheureusement pour Wade fils, son casier judiciaire est entachée par sa contestée condamnation. A moins que d'autres négociations, pour ne pas dire un autre "deal" comme disait l'autre, n'aboutissent à une loi d'amnistie.
En outre, en vertu de l’article 32 du code électoral, une condamnation pour un délit quelconque à une amende sans sursis supérieure à 200.000 FCFA prive son auteur, temporairement de ses droits civiques. Ainsi, condamné à une peine de 6 ans et une amande de 138 milliards, K. Wade entre forcément dans le champ de cette disposition précitée.
Au regard de ce qui précède, on peut affirmer, sans risque d’erreur, que la participation de Monsieur Karim Wade à la prochaine élection présidentielle est, du point de vue juridique, hypothéquée.
En somme, seule une suppression de la peine (une amnistie) permettra à Karim de figurer dans les starting-blocks de la prochaine Présidentielle.
En clair, la condamnation qui figure encore dans la case 3 de son casier judiciaire l'écarte de facto de sa candidature aux joutes Présidentielles de 2019. Or, tout candidat qui aspire briguer la magistrature suprême à l'image d'un Karim Wade déclaré candidat du PDS, est tenu de joindre dans son dossier de candidature, un formulaire de casier judiciaire ...vierge. Malheureusement pour Wade fils, son casier judiciaire est entachée par sa contestée condamnation. A moins que d'autres négociations, pour ne pas dire un autre "deal" comme disait l'autre, n'aboutissent à une loi d'amnistie.
En outre, en vertu de l’article 32 du code électoral, une condamnation pour un délit quelconque à une amende sans sursis supérieure à 200.000 FCFA prive son auteur, temporairement de ses droits civiques. Ainsi, condamné à une peine de 6 ans et une amande de 138 milliards, K. Wade entre forcément dans le champ de cette disposition précitée.
Au regard de ce qui précède, on peut affirmer, sans risque d’erreur, que la participation de Monsieur Karim Wade à la prochaine élection présidentielle est, du point de vue juridique, hypothéquée.
En somme, seule une suppression de la peine (une amnistie) permettra à Karim de figurer dans les starting-blocks de la prochaine Présidentielle.