Il nous revient de sources concordantes que bientôt 7 mois que l'association des aviculteurs est dans la tourmente pour cause de forte mortalité des poules pondeuses issues des couvoirs de la Sedima.
Des recoupements de dakarposte, il ressort que c'est dans le courant des mois de Septembre/Octobre 2015 que des aviculteurs ont constaté un taux élevé de mortalité des poules pondeuses. Pour en avoir le coeur net, un échantillonnage a été prélevé au niveau de plusieurs poulaillers avant d'être envoyé pour contrôle au niveau de l'ISRA et au niveau de la Direction de l'Elevage où le même diagnostic a été noté. Fort de ces résultats, les membres de l'association des aviculteurs a saisi la direction de la Sedima par sommation. Mais depuis lors, les services du PDG Babacar Ngom font du dilatoire en donnant l'intention de vouloir négocier alors que le but recherché est de diviser l'entente au sein des plaignants.
Pour mieux asseoir leurs accusations contre Sedima, ces propriétaires de poulaillers ont fait des prélevements dans d'autres fermes ayant acquis leurs sujets ailleurs qu'à la Sedima. Et c'est fort de tous ces tests et résultats obtenus que les propriétaires comptent ester en Justice vu que la direction semble vouloir noyer le poisson.
Pour le moment, les pertes dues à cette maladie du nom de MAREK s'élèvent à plus de 400 millions de nos francs.
Et la majeur partie de ces aviculteurs font face aux banques qui leur avaient octroyé des crédits en vue de financer ces opérations.
Il est à craindre de voir ces jours prochains le géant de l'aviculture traîner devant Dame Justice.
Et certaines mauvaises langues jubilent déjà en promettant de déballer sur certains graves manquements de Sedima depuis son démarrage. Dire que le discret Babacar Ngom pensait se retirer et bien jouir d'une retraite bien méritée.
Nos tentatives de le joindre ont été vaines. N'empêche, nos colonnes sont ouvertes à M. Ngom aux fins d'apporter sa version des faits.
Affaire à suivre...
Des recoupements de dakarposte, il ressort que c'est dans le courant des mois de Septembre/Octobre 2015 que des aviculteurs ont constaté un taux élevé de mortalité des poules pondeuses. Pour en avoir le coeur net, un échantillonnage a été prélevé au niveau de plusieurs poulaillers avant d'être envoyé pour contrôle au niveau de l'ISRA et au niveau de la Direction de l'Elevage où le même diagnostic a été noté. Fort de ces résultats, les membres de l'association des aviculteurs a saisi la direction de la Sedima par sommation. Mais depuis lors, les services du PDG Babacar Ngom font du dilatoire en donnant l'intention de vouloir négocier alors que le but recherché est de diviser l'entente au sein des plaignants.
Pour mieux asseoir leurs accusations contre Sedima, ces propriétaires de poulaillers ont fait des prélevements dans d'autres fermes ayant acquis leurs sujets ailleurs qu'à la Sedima. Et c'est fort de tous ces tests et résultats obtenus que les propriétaires comptent ester en Justice vu que la direction semble vouloir noyer le poisson.
Pour le moment, les pertes dues à cette maladie du nom de MAREK s'élèvent à plus de 400 millions de nos francs.
Et la majeur partie de ces aviculteurs font face aux banques qui leur avaient octroyé des crédits en vue de financer ces opérations.
Il est à craindre de voir ces jours prochains le géant de l'aviculture traîner devant Dame Justice.
Et certaines mauvaises langues jubilent déjà en promettant de déballer sur certains graves manquements de Sedima depuis son démarrage. Dire que le discret Babacar Ngom pensait se retirer et bien jouir d'une retraite bien méritée.
Nos tentatives de le joindre ont été vaines. N'empêche, nos colonnes sont ouvertes à M. Ngom aux fins d'apporter sa version des faits.
Affaire à suivre...