Nouvelles tensions russo-britanniques à l'ordre du jour : ce vendredi, le FSB, service russe de sécurité, ancêtre du KGB, a annoncé le retrait d'accréditation de six diplomates de l'ambassade britannique à Moscou, soupçonnés d'espionnage et de "menaces à la sécurité de Russie".
"Comme mesure de représailles aux multiples actes inamicaux de Londres, le ministère russe des Affaires étrangères (...) a mis fin à l'accréditation de six employés du département politique de l'ambassade britannique à Moscou".
Les autorités russes justifient ces sanctions diplomatiques en accusant le gouvernement de Keir Starmer d'avoir mené des "activités subversives et de renseignement".
Ces mesures interviennent alors que le président américain Joe Biden et le Premier ministre britannique se réunissent ce vendredi pour évoquer l'assouplissement des restrictions quant à l'utilisation des armes fournies par les États-Unis et la Grande-Bretagne pour frapper la Russie. Un assouplissement réclamé par Kyiv.
Les responsables ukrainiens ont renouvelé leurs appels à utiliser des missiles à longue portée fournis par l’Occident contre des cibles situées plus profondément à l’intérieur de la Russie lors du visite de cette semaine du secrétaire d’État américain Antony Blinken et du ministre britannique des Affaires étrangères David Lammy.
Washington autorise l’Ukraine à utiliser des armes fournies par les États-Unis juste à l’intérieur du territoire russe. La distance a été largement limitée aux cibles transfrontalières considérées comme une menace directe par crainte d’une nouvelle escalade du conflit. Même si cette question devrait figurer en tête de l'agenda des dirigeants, il semble peu probable que Joe Biden et Keir Starmer annoncent des changements immédiats, selon Associated Press.
Mais selon des médias britanniques, Joe Biden, qui craint un conflit nucléaire, est prêt à autoriser l'Ukraine à déployer des missiles britanniques et français utilisant la technologie américaine, mais pas les missiles américains eux-mêmes, selon l'Agence France Presse.
"Comme mesure de représailles aux multiples actes inamicaux de Londres, le ministère russe des Affaires étrangères (...) a mis fin à l'accréditation de six employés du département politique de l'ambassade britannique à Moscou".
Les autorités russes justifient ces sanctions diplomatiques en accusant le gouvernement de Keir Starmer d'avoir mené des "activités subversives et de renseignement".
Ces mesures interviennent alors que le président américain Joe Biden et le Premier ministre britannique se réunissent ce vendredi pour évoquer l'assouplissement des restrictions quant à l'utilisation des armes fournies par les États-Unis et la Grande-Bretagne pour frapper la Russie. Un assouplissement réclamé par Kyiv.
Les responsables ukrainiens ont renouvelé leurs appels à utiliser des missiles à longue portée fournis par l’Occident contre des cibles situées plus profondément à l’intérieur de la Russie lors du visite de cette semaine du secrétaire d’État américain Antony Blinken et du ministre britannique des Affaires étrangères David Lammy.
Washington autorise l’Ukraine à utiliser des armes fournies par les États-Unis juste à l’intérieur du territoire russe. La distance a été largement limitée aux cibles transfrontalières considérées comme une menace directe par crainte d’une nouvelle escalade du conflit. Même si cette question devrait figurer en tête de l'agenda des dirigeants, il semble peu probable que Joe Biden et Keir Starmer annoncent des changements immédiats, selon Associated Press.
Mais selon des médias britanniques, Joe Biden, qui craint un conflit nucléaire, est prêt à autoriser l'Ukraine à déployer des missiles britanniques et français utilisant la technologie américaine, mais pas les missiles américains eux-mêmes, selon l'Agence France Presse.