Laquelle plateforme, selon la coordonnatrice dudit mouvement, Mme Guèye Coumba Yambé Seck, va augmenter de manière significative, la production des femmes de Diakhao. Ainsi de remercier leur marraine qui, de par ce geste, a «honoré les femmes de Diakhao et de Thiès en général».
Au-delà, la coordonnatrice du mouvement «Les sœurs de Marième Faye Sall» a plaidé pour l'accès des femmes à l'emballage de leurs produits et des sessions de formation dans la perspective de pouvoir exporter leurs produits transformés en vue d'accéder aux marchés internationaux.
Aussi de demander plus de financements pour les femmes transformatrices, afin de leur permettre de se former et de contribuer à lutter contre la féminisation de la pauvreté. Elle a sollicité également, pour celles-ci, l'accès à la terre pour promouvoir leur autonomie et permettre un meilleur développement de l'économie. Mme Guèye Ndèye Yambé Seck de terminer par souhaiter aux autres femmes transformatrices du pays la possibilité de bénéficier, elles aussi, de ce genre de matériel pour mieux se mettre au travail.
Procédant à l'inauguration de la plateforme de transformation de céréales, le Directeur général du Bureau opérationnel de suivi du Plan Sénégal émergent (Bos), Ibrahima Wade, a salué le travail remarquable du mouvement «Les sœurs de Marième Faye Sall». Une structure très «dynamique et engagée dans l'autonomisation des femmes», selon M. Wade, qui se réjouit de la «preuve donnée par ces vaillantes femmes, que le Plan Sénégal émergent est une réalité à l'échelle individuelle».
Aussi, ces dernières viennent-elles de fournir à suffisance «la preuve qu'il est possible à chaque Sénégalais de contribuer à sa façon au processus de développement économique du pays, à la mise en œuvre du PSE». Après échanges et discussions avec les femmes du mouvement «Les sœurs de Marième Faye Sall», Ibrahima Wade s'est dit impressionné par «l'engagement et la perspective que se donnent les intéressées».
Les problématiques soulevées autour du financement, de la formation, la labellisation, les facilités d'emballage et le foncier, prouvent, selon le directeur général du Bureau opérationnel de suivi du Plan Sénégal émergent, que «les femmes de Thiès, derrière tout le brouhaha politique, sont dans une logique de développement économique».
Laquelle plateforme, selon la coordonnatrice dudit mouvement, Mme Guèye Coumba Yambé Seck, va augmenter de manière significative, la production des femmes de Diakhao. Ainsi de remercier leur marraine qui, de par ce geste, a «honoré les femmes de Diakhao et de Thiès en général».
Au-delà, la coordonnatrice du mouvement «Les sœurs de Marième Faye Sall» a plaidé pour l'accès des femmes à l'emballage de leurs produits et des sessions de formation dans la perspective de pouvoir exporter leurs produits transformés en vue d'accéder aux marchés internationaux.
Aussi de demander plus de financements pour les femmes transformatrices, afin de leur permettre de se former et de contribuer à lutter contre la féminisation de la pauvreté. Elle a sollicité également, pour celles-ci, l'accès à la terre pour promouvoir leur autonomie et permettre un meilleur développement de l'économie. Mme Guèye Ndèye Yambé Seck de terminer par souhaiter aux autres femmes transformatrices du pays la possibilité de bénéficier, elles aussi, de ce genre de matériel pour mieux se mettre au travail.
Procédant à l'inauguration de la plateforme de transformation de céréales, le Directeur général du Bureau opérationnel de suivi du Plan Sénégal émergent (Bos), Ibrahima Wade, a salué le travail remarquable du mouvement «Les sœurs de Marième Faye Sall». Une structure très «dynamique et engagée dans l'autonomisation des femmes», selon M. Wade, qui se réjouit de la «preuve donnée par ces vaillantes femmes, que le Plan Sénégal émergent est une réalité à l'échelle individuelle».
Aussi, ces dernières viennent-elles de fournir à suffisance «la preuve qu'il est possible à chaque Sénégalais de contribuer à sa façon au processus de développement économique du pays, à la mise en œuvre du PSE». Après échanges et discussions avec les femmes du mouvement «Les sœurs de Marième Faye Sall», Ibrahima Wade s'est dit impressionné par «l'engagement et la perspective que se donnent les intéressées».
Les problématiques soulevées autour du financement, de la formation, la labellisation, les facilités d'emballage et le foncier, prouvent, selon le directeur général du Bureau opérationnel de suivi du Plan Sénégal émergent, que «les femmes de Thiès, derrière tout le brouhaha politique, sont dans une logique de développement économique».
Au-delà, la coordonnatrice du mouvement «Les sœurs de Marième Faye Sall» a plaidé pour l'accès des femmes à l'emballage de leurs produits et des sessions de formation dans la perspective de pouvoir exporter leurs produits transformés en vue d'accéder aux marchés internationaux.
Aussi de demander plus de financements pour les femmes transformatrices, afin de leur permettre de se former et de contribuer à lutter contre la féminisation de la pauvreté. Elle a sollicité également, pour celles-ci, l'accès à la terre pour promouvoir leur autonomie et permettre un meilleur développement de l'économie. Mme Guèye Ndèye Yambé Seck de terminer par souhaiter aux autres femmes transformatrices du pays la possibilité de bénéficier, elles aussi, de ce genre de matériel pour mieux se mettre au travail.
Procédant à l'inauguration de la plateforme de transformation de céréales, le Directeur général du Bureau opérationnel de suivi du Plan Sénégal émergent (Bos), Ibrahima Wade, a salué le travail remarquable du mouvement «Les sœurs de Marième Faye Sall». Une structure très «dynamique et engagée dans l'autonomisation des femmes», selon M. Wade, qui se réjouit de la «preuve donnée par ces vaillantes femmes, que le Plan Sénégal émergent est une réalité à l'échelle individuelle».
Aussi, ces dernières viennent-elles de fournir à suffisance «la preuve qu'il est possible à chaque Sénégalais de contribuer à sa façon au processus de développement économique du pays, à la mise en œuvre du PSE». Après échanges et discussions avec les femmes du mouvement «Les sœurs de Marième Faye Sall», Ibrahima Wade s'est dit impressionné par «l'engagement et la perspective que se donnent les intéressées».
Les problématiques soulevées autour du financement, de la formation, la labellisation, les facilités d'emballage et le foncier, prouvent, selon le directeur général du Bureau opérationnel de suivi du Plan Sénégal émergent, que «les femmes de Thiès, derrière tout le brouhaha politique, sont dans une logique de développement économique».
Laquelle plateforme, selon la coordonnatrice dudit mouvement, Mme Guèye Coumba Yambé Seck, va augmenter de manière significative, la production des femmes de Diakhao. Ainsi de remercier leur marraine qui, de par ce geste, a «honoré les femmes de Diakhao et de Thiès en général».
Au-delà, la coordonnatrice du mouvement «Les sœurs de Marième Faye Sall» a plaidé pour l'accès des femmes à l'emballage de leurs produits et des sessions de formation dans la perspective de pouvoir exporter leurs produits transformés en vue d'accéder aux marchés internationaux.
Aussi de demander plus de financements pour les femmes transformatrices, afin de leur permettre de se former et de contribuer à lutter contre la féminisation de la pauvreté. Elle a sollicité également, pour celles-ci, l'accès à la terre pour promouvoir leur autonomie et permettre un meilleur développement de l'économie. Mme Guèye Ndèye Yambé Seck de terminer par souhaiter aux autres femmes transformatrices du pays la possibilité de bénéficier, elles aussi, de ce genre de matériel pour mieux se mettre au travail.
Procédant à l'inauguration de la plateforme de transformation de céréales, le Directeur général du Bureau opérationnel de suivi du Plan Sénégal émergent (Bos), Ibrahima Wade, a salué le travail remarquable du mouvement «Les sœurs de Marième Faye Sall». Une structure très «dynamique et engagée dans l'autonomisation des femmes», selon M. Wade, qui se réjouit de la «preuve donnée par ces vaillantes femmes, que le Plan Sénégal émergent est une réalité à l'échelle individuelle».
Aussi, ces dernières viennent-elles de fournir à suffisance «la preuve qu'il est possible à chaque Sénégalais de contribuer à sa façon au processus de développement économique du pays, à la mise en œuvre du PSE». Après échanges et discussions avec les femmes du mouvement «Les sœurs de Marième Faye Sall», Ibrahima Wade s'est dit impressionné par «l'engagement et la perspective que se donnent les intéressées».
Les problématiques soulevées autour du financement, de la formation, la labellisation, les facilités d'emballage et le foncier, prouvent, selon le directeur général du Bureau opérationnel de suivi du Plan Sénégal émergent, que «les femmes de Thiès, derrière tout le brouhaha politique, sont dans une logique de développement économique».