Dakarposte a appris la triste nouvelle en début d'après midi de ce vendredi 17 Août 2018. En effet, le célèbre Libass Laye a été rappelé à Dieu.
Le défunt, nous revient-il, a juste ressenti des douleurs à la poitrine avant de rendre l'âme. "Il a eu un malaise au petit matin avant de demander à sa femme de lui masser la poitrine et puis paf, il est parti sans crier gare" nous apprend une dame proche de Libass Laye.
Très sollicité, le disparu était dévoué jusqu’au bout. Photographe émérite, il fréquentait souvent le "Penc Mi" (ndlr: boite de nuit situé entre la Médina et Gueule Tapée) où il monnayait ses prédispositions à la photographie.
Très patient et doté d'une bonne abnégation, Libass Laye, aimable comme pas deux, a su intégrer certains milieux parfois hostiles.
"Vous savez mieux que moi qu'on ne s’improvise pas photographe d’un jour à l’autre il faut maitriser ce métier qui demande compétence et expérience. Libass, qui se démarquait des autres, notamment par son art de la réthorique, maitrisait bien son job. Il me disait d'ailleurs que les gens doivent comprendre que la photographie est d’abord un art, qu’il faut donc plaire à ses clients et ensuite avoir une technique qu’il faut maitriser convenablement" tient à témoigner cette connaissance de Libass Laye.
Dakarposte présente ses condoléances à sa famille éplorée, à l'univers abscons des photographes, bref au Médinois et Médinoises.
Que la terre de Diamalaye lui soit légère et qu'Allah, l'Omniscient l'accueille dans son paradis céleste !
Le défunt, nous revient-il, a juste ressenti des douleurs à la poitrine avant de rendre l'âme. "Il a eu un malaise au petit matin avant de demander à sa femme de lui masser la poitrine et puis paf, il est parti sans crier gare" nous apprend une dame proche de Libass Laye.
Très sollicité, le disparu était dévoué jusqu’au bout. Photographe émérite, il fréquentait souvent le "Penc Mi" (ndlr: boite de nuit situé entre la Médina et Gueule Tapée) où il monnayait ses prédispositions à la photographie.
Très patient et doté d'une bonne abnégation, Libass Laye, aimable comme pas deux, a su intégrer certains milieux parfois hostiles.
"Vous savez mieux que moi qu'on ne s’improvise pas photographe d’un jour à l’autre il faut maitriser ce métier qui demande compétence et expérience. Libass, qui se démarquait des autres, notamment par son art de la réthorique, maitrisait bien son job. Il me disait d'ailleurs que les gens doivent comprendre que la photographie est d’abord un art, qu’il faut donc plaire à ses clients et ensuite avoir une technique qu’il faut maitriser convenablement" tient à témoigner cette connaissance de Libass Laye.
Dakarposte présente ses condoléances à sa famille éplorée, à l'univers abscons des photographes, bref au Médinois et Médinoises.
Que la terre de Diamalaye lui soit légère et qu'Allah, l'Omniscient l'accueille dans son paradis céleste !