La scène est posée : le Sénégal, terre d’intrigues politiques et de batailles judiciaires, accueille une nouvelle star dans l’arène. Alioune Ndao, ancien procureur de la CREI, débarque à la tête de la Haute Cour de Justice, et on peut presque entendre les tambours de guerre résonner.
Rappelons-nous, Ndao avait été relevé de ses fonctions avec la subtilité d’un éléphant dans un magasin de porcelaine par Macky Sall, en pleine audience, lors du fameux procès Karim Wade. Une humiliation publique qui aurait pu briser n’importe qui. Mais pas Ndao. Lui, il a encaissé, comme un boxeur qui attend le moment parfait pour porter le coup décisif.
Aujourd’hui, le voilà propulsé à la tête de cette Haute Cour flambant neuve, prête à donner le coup d’envoi à un marathon judiciaire où certains protagonistes risquent de transpirer un peu plus que prévu. Alioune Ndao, avec son intégrité légendaire et sa réputation de justicier incorruptible, semble taillé sur mesure pour ce rôle. On pourrait presque croire que l’histoire s’est amusée à lui offrir une revanche aussi savoureuse qu’un thiéboudienne bien épicé.
Cette cour, composée de huit membres, est censée devenir l’arbitre ultime des grands dossiers. Autant dire qu’elle est aussi attendue que la finale d’une Coupe d’Afrique. Et Ndao, avec son style rigoureux et ses airs de professeur d’école sévère, s’apprête à distribuer des leçons à ceux qui pensaient que justice rime avec complaisance.
Mais attention, derrière cette grande mission se cachent des enjeux monumentaux. Des familles de victimes attendent réparation, des bourreaux présumés redoutent l’heure des comptes, et le peuple sénégalais espère enfin voir une institution judiciaire à la hauteur de ses ambitions. Alioune Ndao, en véritable marathonien, devra courir cette course d’endurance sans trébucher sur les nombreux pièges politiques et médiatiques qui l’attendent.
Alors, bonne chance, Monsieur Ndao. Vous êtes peut-être la figure dont le Sénégal avait besoin pour restaurer la confiance en sa justice. Mais une chose est sûre : le spectacle judiciaire qui s’annonce promet d’être captivant. Sortez le popcorn, le marathon commence, et avec Alioune Ndao en tête, il risque d’y avoir du sport !
Mamadou Guèye
Rappelons-nous, Ndao avait été relevé de ses fonctions avec la subtilité d’un éléphant dans un magasin de porcelaine par Macky Sall, en pleine audience, lors du fameux procès Karim Wade. Une humiliation publique qui aurait pu briser n’importe qui. Mais pas Ndao. Lui, il a encaissé, comme un boxeur qui attend le moment parfait pour porter le coup décisif.
Aujourd’hui, le voilà propulsé à la tête de cette Haute Cour flambant neuve, prête à donner le coup d’envoi à un marathon judiciaire où certains protagonistes risquent de transpirer un peu plus que prévu. Alioune Ndao, avec son intégrité légendaire et sa réputation de justicier incorruptible, semble taillé sur mesure pour ce rôle. On pourrait presque croire que l’histoire s’est amusée à lui offrir une revanche aussi savoureuse qu’un thiéboudienne bien épicé.
Cette cour, composée de huit membres, est censée devenir l’arbitre ultime des grands dossiers. Autant dire qu’elle est aussi attendue que la finale d’une Coupe d’Afrique. Et Ndao, avec son style rigoureux et ses airs de professeur d’école sévère, s’apprête à distribuer des leçons à ceux qui pensaient que justice rime avec complaisance.
Mais attention, derrière cette grande mission se cachent des enjeux monumentaux. Des familles de victimes attendent réparation, des bourreaux présumés redoutent l’heure des comptes, et le peuple sénégalais espère enfin voir une institution judiciaire à la hauteur de ses ambitions. Alioune Ndao, en véritable marathonien, devra courir cette course d’endurance sans trébucher sur les nombreux pièges politiques et médiatiques qui l’attendent.
Alors, bonne chance, Monsieur Ndao. Vous êtes peut-être la figure dont le Sénégal avait besoin pour restaurer la confiance en sa justice. Mais une chose est sûre : le spectacle judiciaire qui s’annonce promet d’être captivant. Sortez le popcorn, le marathon commence, et avec Alioune Ndao en tête, il risque d’y avoir du sport !
Mamadou Guèye