Pendant trois jours, des soldats de la zone militaire numéro 3 du Sénégal et du deuxième bataillon d’infanterie gambien ont patrouillé côte-à-côte dans les zones frontalières. Une grande première.
Ces patrouilles avaient un principal objectif, affiché par les deux pays : lutter contre les menaces qui s’y multiplient, comme le banditisme ou le trafic de drogue et de bois. Aucun bilan de la mission n’a toutefois été communiqué de ce point de vue-là.
Soigner les habitants
Mais selon l’état-major sénégalais, au-delà des actions de surveillance, les soldats accompagnés de médecins ont aussi proposé des consultations médicales gratuites à un peu plus de 300 habitants. Aussi bien du côté gambien que sénégalais de la frontière, des zones dans lesquelles il n’est pas toujours évident d’avoir accès à des soins.
Cette première patrouille mixte est le résultat du comité bipartite pour la gestion des frontières installé mi-janvier par le Sénégal et la Gambie. Lors d’une rencontre à Ziguinchor, les états-majors des deux pays s’étaient mis d’accord sur la nécessité de sécuriser et de contrôler de « manière commune » leurs espaces frontaliers.
Rfi
Ces patrouilles avaient un principal objectif, affiché par les deux pays : lutter contre les menaces qui s’y multiplient, comme le banditisme ou le trafic de drogue et de bois. Aucun bilan de la mission n’a toutefois été communiqué de ce point de vue-là.
Soigner les habitants
Mais selon l’état-major sénégalais, au-delà des actions de surveillance, les soldats accompagnés de médecins ont aussi proposé des consultations médicales gratuites à un peu plus de 300 habitants. Aussi bien du côté gambien que sénégalais de la frontière, des zones dans lesquelles il n’est pas toujours évident d’avoir accès à des soins.
Cette première patrouille mixte est le résultat du comité bipartite pour la gestion des frontières installé mi-janvier par le Sénégal et la Gambie. Lors d’une rencontre à Ziguinchor, les états-majors des deux pays s’étaient mis d’accord sur la nécessité de sécuriser et de contrôler de « manière commune » leurs espaces frontaliers.
Rfi