La Cellule nationale de traitement des informations financières (Centif) est sur les trousses du fils de Lamine Doack. En effet, elle a été saisie d’une déclaration de soupçon pointant directement du doigt Massata Diack. Le signalement proviendrait d’une banque qui cherche à se protéger après avoir failli.
C’est le parquet national financier de Paris qui a appris le virement de plus d’un million d’euros dans le compte bancaire de Massata Diack, sans que l’institution financière n’ait déclaré cela à l’époque.
Sachant que les autorités judiciaires françaises l’ont en surveillance, la banque cherche à se couvrir à plus forte raison qu’une enquête préliminaire est en cours. Les enquêteurs brésiliens et français ont découvert le versement de la somme de 1,5million de Dollars à une société qui appartient à Massata Diack. Ce virement a été fait par Matlock capital group qui appartient à Arthur Cesar de Menezes qui a sur le dos un mandat d’arrêt international trois jours avant le vote attribuant les jeux olympiques de Rio.
C’est le parquet national financier de Paris qui a appris le virement de plus d’un million d’euros dans le compte bancaire de Massata Diack, sans que l’institution financière n’ait déclaré cela à l’époque.
Sachant que les autorités judiciaires françaises l’ont en surveillance, la banque cherche à se couvrir à plus forte raison qu’une enquête préliminaire est en cours. Les enquêteurs brésiliens et français ont découvert le versement de la somme de 1,5million de Dollars à une société qui appartient à Massata Diack. Ce virement a été fait par Matlock capital group qui appartient à Arthur Cesar de Menezes qui a sur le dos un mandat d’arrêt international trois jours avant le vote attribuant les jeux olympiques de Rio.