Une inspection de la CAF arrive à Conakry en avril pour voir l’état des préparatifs de l’organisation de la Coupe d’Afrique des nations (CAN) que le pays pourrait abriter en 2023.
A quelques semaines de l’arrivée de la délégation de la CAF, les autorités guinéennes doivent se lever pour faire bouger les lignes puisqu’aucune brique n’est visible sur le terrain.
Le comité d’organisation de la Coupe d’Afrique des nations (COCAN) a été, certes, créé en octobre, son personnel a été meublé en janvier 2017 mais depuis, rien sous la dent.
Or, à cette allure, si l’inspection note un retard énorme dans l’exécution des travaux, il y a de fortes chances que la CAF retire la CAN 2023 des mains de la Guinée sans hésiter.
Après la défaite de son soutien, Issa Hayyatou, la Guinée doit poser des actes pour rassurer.
Cela est d’autant vrai que le nouvel élu a sauté la Guinée pendant la campagne électorale.
Les détracteurs de Hayyatou lui reprochent sa préférence pour les francophones. D'où le choix des pays francophones pour organiser quatre CAN successives. Le Gabon en 2017, le Cameroun en 2019, la Côte d’ivoire en 2023 et enfin….. la Guinée en 2023.
La balle est dans le camp des guinéens donc. A eux de marquer un but ou de donner la passe à l'adversaire.
A quelques semaines de l’arrivée de la délégation de la CAF, les autorités guinéennes doivent se lever pour faire bouger les lignes puisqu’aucune brique n’est visible sur le terrain.
Le comité d’organisation de la Coupe d’Afrique des nations (COCAN) a été, certes, créé en octobre, son personnel a été meublé en janvier 2017 mais depuis, rien sous la dent.
Or, à cette allure, si l’inspection note un retard énorme dans l’exécution des travaux, il y a de fortes chances que la CAF retire la CAN 2023 des mains de la Guinée sans hésiter.
Après la défaite de son soutien, Issa Hayyatou, la Guinée doit poser des actes pour rassurer.
Cela est d’autant vrai que le nouvel élu a sauté la Guinée pendant la campagne électorale.
Les détracteurs de Hayyatou lui reprochent sa préférence pour les francophones. D'où le choix des pays francophones pour organiser quatre CAN successives. Le Gabon en 2017, le Cameroun en 2019, la Côte d’ivoire en 2023 et enfin….. la Guinée en 2023.
La balle est dans le camp des guinéens donc. A eux de marquer un but ou de donner la passe à l'adversaire.