Comme nous l’annoncions hier, Biram Souleye Diop, administrateur du parti Pastef, son épouse Patricia Mariame Ngandoul, et d’autres membres dudit parti, arrêtés dans le cadre d’une affaire de diffusion de fausses nouvelles et images contraires aux bonnes mœurs, seront fixés sur leur sort ce mardi.
Leur dossier est désormais confié au doyen des juges après que le procureur a fini de solliciter le mandat de dépôt pour Biram Souleye Diop et Dahirou Thiam, ingénieur en télécommunications et la mise sous contrôle judiciaire des autres personnes concernées : Patricia Ngandoul, Abass Fall, coordonnateur de Pastef à Dakar, Fatima Mbengue, activiste membre de Frapp/France dégage et Bawar Dia, agent à l’agence Sonatel Médina.
Hormis Birame Souleye Diop qui avait été arrêté en dernier lieu, vendredi, tous les autres avaient bénéficié d’un retour de parquet.
Cette série d’arrestations, en marge de l’affaire Sonko, est survenue suite à une plainte du ministre d’État Mahmoud Saleh, pour des menaces reçues sur son téléphone via un numéro qui aurait été acheté par l’épouse de Birame Souleye Diop. Cette dernière s’est défendue de faire de la politique et assure que l’achat de la puce entrait uniquement dans le cadre de ses activités professionnelles.
Comme annoncé hier par Emedia, on se dirige donc, pour ce dossier, vers l’ouverture d’une information judiciaire.
Birame Soulèye Diop a été placé en garde à vue le vendredi dernier. Là où son épouse Patricia Mariame Ngandoul est en arrestation depuis une semaine alors qu’elle se rendait à son lieu de travail. C’est par la suite que Bawar Dia, Abass Fall, Fatoumata Traoré, Dahirou Thiam et Bawar Dia ont été arrêtés le même jour.
Ils sont accusés de menaces de mort et appel à l’insurrection. Ils sont soupçonnés d’être liés à une puce téléphonique à partir de laquelle des autorités dont le ministre d’Etat, directeur de cabinet du président, Mahmoud Saleh, ont reçu des menaces de mort.
emediasn
Leur dossier est désormais confié au doyen des juges après que le procureur a fini de solliciter le mandat de dépôt pour Biram Souleye Diop et Dahirou Thiam, ingénieur en télécommunications et la mise sous contrôle judiciaire des autres personnes concernées : Patricia Ngandoul, Abass Fall, coordonnateur de Pastef à Dakar, Fatima Mbengue, activiste membre de Frapp/France dégage et Bawar Dia, agent à l’agence Sonatel Médina.
Hormis Birame Souleye Diop qui avait été arrêté en dernier lieu, vendredi, tous les autres avaient bénéficié d’un retour de parquet.
Cette série d’arrestations, en marge de l’affaire Sonko, est survenue suite à une plainte du ministre d’État Mahmoud Saleh, pour des menaces reçues sur son téléphone via un numéro qui aurait été acheté par l’épouse de Birame Souleye Diop. Cette dernière s’est défendue de faire de la politique et assure que l’achat de la puce entrait uniquement dans le cadre de ses activités professionnelles.
Comme annoncé hier par Emedia, on se dirige donc, pour ce dossier, vers l’ouverture d’une information judiciaire.
Birame Soulèye Diop a été placé en garde à vue le vendredi dernier. Là où son épouse Patricia Mariame Ngandoul est en arrestation depuis une semaine alors qu’elle se rendait à son lieu de travail. C’est par la suite que Bawar Dia, Abass Fall, Fatoumata Traoré, Dahirou Thiam et Bawar Dia ont été arrêtés le même jour.
Ils sont accusés de menaces de mort et appel à l’insurrection. Ils sont soupçonnés d’être liés à une puce téléphonique à partir de laquelle des autorités dont le ministre d’Etat, directeur de cabinet du président, Mahmoud Saleh, ont reçu des menaces de mort.
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