Le président de la Commission électorale nationale autonome (CENA), Doudou Ndir, a déploré l’absence de tables dans certains bureaux de vote où les bulletins de votes sont disposés à même le sol.
"On doit déplorer cette situation d’absence de tables qui oblige les électeurs à faire des efforts physiques pour aller voter, ce n’est pas normal", a souligné le président de la CENA, après avoir visité des bureaux de vote au centre-foyer de Grand Yoff, à Dakar.
"Pour des personnes d’un certain âge, c’est vraiment pénible", a-t-il remarqué, avant de déplorer par ailleurs "l’exigüité" de certains bureaux de vote.
Dans les bureaux de vote 2 et 8 du centre-foyer de Grand-Yoff, les électeurs étaient disposés à même le sol, obligeant à des efforts physiques pour en prendre.
"Ce n’est pas facile mais j’ai décidé de voter quelles que soient les difficultés", a témoigné un électeur d’un âge avancé, au moment d’aller dans l’urne.
Le maire de Grand-Yoff, Madiop Diop, qui a tenu à faire la queue pour voter, a déploré cette situation, soulignant que "cela veut dire que l’Etat n’a pas maîtrisé ce processus".
"C’est très grave" de constater que "plus d’un demi-siècle après notre accession à la souveraineté nationale, on ne puisse pas disposer de tables pour entreposer des bulletins", a-t-il indiqué.
Le président de la CENA a appelé aussi à "vite trouver une solution" pour la dizaine de personnes de ce centre détenant par devers elles leur nouvelle carte d’identité mais dont les noms ne figurent pas sur les listes électorales.
"On constate des personnes détentrices de cartes et qui ne figurent pas sur les listes, on espère que ce n’est pas un phénomène généralisé. Mais c’est vraiment à déplorer, on espère qu’elles retrouvent leurs bureaux de vote, un gage supplémentaire de transparence du scrutin", a insisté le président de la CENA.
"On doit déplorer cette situation d’absence de tables qui oblige les électeurs à faire des efforts physiques pour aller voter, ce n’est pas normal", a souligné le président de la CENA, après avoir visité des bureaux de vote au centre-foyer de Grand Yoff, à Dakar.
"Pour des personnes d’un certain âge, c’est vraiment pénible", a-t-il remarqué, avant de déplorer par ailleurs "l’exigüité" de certains bureaux de vote.
Dans les bureaux de vote 2 et 8 du centre-foyer de Grand-Yoff, les électeurs étaient disposés à même le sol, obligeant à des efforts physiques pour en prendre.
"Ce n’est pas facile mais j’ai décidé de voter quelles que soient les difficultés", a témoigné un électeur d’un âge avancé, au moment d’aller dans l’urne.
Le maire de Grand-Yoff, Madiop Diop, qui a tenu à faire la queue pour voter, a déploré cette situation, soulignant que "cela veut dire que l’Etat n’a pas maîtrisé ce processus".
"C’est très grave" de constater que "plus d’un demi-siècle après notre accession à la souveraineté nationale, on ne puisse pas disposer de tables pour entreposer des bulletins", a-t-il indiqué.
Le président de la CENA a appelé aussi à "vite trouver une solution" pour la dizaine de personnes de ce centre détenant par devers elles leur nouvelle carte d’identité mais dont les noms ne figurent pas sur les listes électorales.
"On constate des personnes détentrices de cartes et qui ne figurent pas sur les listes, on espère que ce n’est pas un phénomène généralisé. Mais c’est vraiment à déplorer, on espère qu’elles retrouvent leurs bureaux de vote, un gage supplémentaire de transparence du scrutin", a insisté le président de la CENA.