Le ministère des Infrastructures, des Transports terrestres et du Désenclavement assure que "toutes les dispositions ont été prises pour assurer la libre circulation des personnes et des biens sur l’ensemble du territoire national", suite à la décision du Collectif des transporteurs et conducteurs du Sénégal (CTCS) d’observer un mouvement de grève de 48h, à partir de mercredi.
Dans un communiqué reçu de ses services, il est écrit que "toutes les dispositions ont été prises pour assurer la libre circulation des personnes et des biens sur l’ensemble du territoire national", en rapport avec le mouvement de grève décidé par ces syndicalistes.
"De même, ajoute le communiqué signé du secrétaire général du ministère des Infrastructures, des Transports terrestres et du Désenclavement, Aubin Jules Marcel Sagna, le droit de travailler sera garanti aux transporteurs qui décident de ne pas suivre le mot d’ordre de grève et de poursuivre leurs activités professionnelles, par tous les moyens appropriés".
Selon le texte, la plateforme déposée par les grévistes porte sur des revendications en 27 points, parmi lesquels celui portant sur "la saisie par la direction générale des Douanes de véhicules pour fraudes et dépassement de l’âge réglementaire d’importation (8 ans pour les véhicules particuliers et 10 ans pour les véhicules de transport de voyageurs ou de marchandises) a retenu l’attention des transporteurs".
Dans ce cadre, affirment les services du ministère des Transports, quatre rencontres ont été organisées avec ledit Collectif dans le courant du mois d’août, en vue de "trouver une issue favorable à toutes les questions soulevées, y compris celle relative aux véhicules immobilisés par la Douane sénégalaise, pour aboutir à la levée du mot d’ordre de grève".
Concernant ce point précis, ajoutent-ils, les syndicats n’ont pas voulu entendre les propositions de sortie de crise aménagées par l’Etat "dans le respect des lois et règlements".
Malgré tout, le ministère chargé des transports et celui chargé du Travail, du Dialogue social, des Organisations professionnelles et des Relations avec les institutions, "en concertation étroite avec la Douane, ont décidé fermement qu’une mesure d’indulgence ne peut concerner les cas manifestes de fraudes", le respect des lois et règlements ne pouvant "être sujet à une quelconque transaction".
Le ministère en charge des Transports se dit disponible pour le dialogue en vue de "l’apaisement du climat social", une perspective qui, selon ses services, a conduit le ministre de tutelle, Mansour Elimane Kane, à recevoir, les 30 juin et 1er juillet "tous les partenaires sociaux du secteur des Transports pour la mise en place d’un cadre permanent de concertation dont l’objectif est d’anticiper, de discuter et régler tous les problèmes rencontrés dans le secteur".
BK/PON
Dans un communiqué reçu de ses services, il est écrit que "toutes les dispositions ont été prises pour assurer la libre circulation des personnes et des biens sur l’ensemble du territoire national", en rapport avec le mouvement de grève décidé par ces syndicalistes.
"De même, ajoute le communiqué signé du secrétaire général du ministère des Infrastructures, des Transports terrestres et du Désenclavement, Aubin Jules Marcel Sagna, le droit de travailler sera garanti aux transporteurs qui décident de ne pas suivre le mot d’ordre de grève et de poursuivre leurs activités professionnelles, par tous les moyens appropriés".
Selon le texte, la plateforme déposée par les grévistes porte sur des revendications en 27 points, parmi lesquels celui portant sur "la saisie par la direction générale des Douanes de véhicules pour fraudes et dépassement de l’âge réglementaire d’importation (8 ans pour les véhicules particuliers et 10 ans pour les véhicules de transport de voyageurs ou de marchandises) a retenu l’attention des transporteurs".
Dans ce cadre, affirment les services du ministère des Transports, quatre rencontres ont été organisées avec ledit Collectif dans le courant du mois d’août, en vue de "trouver une issue favorable à toutes les questions soulevées, y compris celle relative aux véhicules immobilisés par la Douane sénégalaise, pour aboutir à la levée du mot d’ordre de grève".
Concernant ce point précis, ajoutent-ils, les syndicats n’ont pas voulu entendre les propositions de sortie de crise aménagées par l’Etat "dans le respect des lois et règlements".
Malgré tout, le ministère chargé des transports et celui chargé du Travail, du Dialogue social, des Organisations professionnelles et des Relations avec les institutions, "en concertation étroite avec la Douane, ont décidé fermement qu’une mesure d’indulgence ne peut concerner les cas manifestes de fraudes", le respect des lois et règlements ne pouvant "être sujet à une quelconque transaction".
Le ministère en charge des Transports se dit disponible pour le dialogue en vue de "l’apaisement du climat social", une perspective qui, selon ses services, a conduit le ministre de tutelle, Mansour Elimane Kane, à recevoir, les 30 juin et 1er juillet "tous les partenaires sociaux du secteur des Transports pour la mise en place d’un cadre permanent de concertation dont l’objectif est d’anticiper, de discuter et régler tous les problèmes rencontrés dans le secteur".
BK/PON