Brahim Diaz a guidé le Real Madrid vers une victoire facile contre Grenade dans un match sans enjeu (0-4) samedi après-midi. Déjà titrés la semaine passée de leur trente-sixième Liga, les Merengue ont pu jouer sur un rythme assez faible, mais suffisant pour donner de la confiance aux habituels remplaçants. Voici un vingt-neuvième match de championnat sans défaite synonyme de nouveau record, à quelques semaines d’une potentielle quinzième Ligue des champions.
Carlo Ancelotti a vu ceux qui brillent en sortie de banc lors des grandes soirées en faire de même sur 90 minutes. Un seul homme s’est montré discret, Joselu. Le double buteur et héros face au Bayern Munich a été fantomatique, pour laisser place à la jeunesse. Fran Garcia d’abord. Buteur à la 38e, il s’est offert une passe décisive pour Arda Güler en fin de premier acte.
DIAZ, GÜLER : LA BAL DES ARTISTES
Un but du break permis par le très bon travail de Brahim Diaz qui, positionné sur l'aile gauche mais très mobile, s’est offert un doublé (49e, 59e). Comme souvent cette saison, le Marocain a brillé dans un match secondaire, en plus de régulièrement se montrer décisif lorsqu’il débute remplaçant. Une rencontre et une saison parfaitement réussies pour l’ancien de Manchester City pour qui la possible arrivée de Kylian Mbappé le ferait un peu plus reculer dans la hiérarchie.
Arda Güler, très bon dans les petits espaces malgré quelques déchets en première mi-temps, s’est démarqué toute la rencontre et a également montré qu’il avait parfaitement sa place dans l’effectif de la Maison Blanche. Outre ce casse-tête offensif à venir pour le tacticien italien la saison prochaine, une réflexion se pose au poste de gardien. Thibaut Courtois a de nouveau été titularisé, comme il y a une semaine à Cadiz. Peu sollicité, le Belge fera concurrence à Andriy Lunin pour la finale de C1 à Dortmund.
Un adversaire de toute autre taille que celui d’aujourd’hui. Relégués quelques minutes avant le coup d’envoi après la victoire de Majorque plus tôt, les joueurs de Grenade n’ont pas fait preuve d'une grande envie sur le terrain. Des imprécisions techniques, mais surtout des attaquants trop statiques pour espérer surprendre la défense du Real. Un match de transition pour deux groupes qui attendent deux échéances bien différentes. Les vacances d’un côté, une 18e finale de Ligue des champions de l’autre. Pas le même monde.
Carlo Ancelotti a vu ceux qui brillent en sortie de banc lors des grandes soirées en faire de même sur 90 minutes. Un seul homme s’est montré discret, Joselu. Le double buteur et héros face au Bayern Munich a été fantomatique, pour laisser place à la jeunesse. Fran Garcia d’abord. Buteur à la 38e, il s’est offert une passe décisive pour Arda Güler en fin de premier acte.
DIAZ, GÜLER : LA BAL DES ARTISTES
Un but du break permis par le très bon travail de Brahim Diaz qui, positionné sur l'aile gauche mais très mobile, s’est offert un doublé (49e, 59e). Comme souvent cette saison, le Marocain a brillé dans un match secondaire, en plus de régulièrement se montrer décisif lorsqu’il débute remplaçant. Une rencontre et une saison parfaitement réussies pour l’ancien de Manchester City pour qui la possible arrivée de Kylian Mbappé le ferait un peu plus reculer dans la hiérarchie.
Arda Güler, très bon dans les petits espaces malgré quelques déchets en première mi-temps, s’est démarqué toute la rencontre et a également montré qu’il avait parfaitement sa place dans l’effectif de la Maison Blanche. Outre ce casse-tête offensif à venir pour le tacticien italien la saison prochaine, une réflexion se pose au poste de gardien. Thibaut Courtois a de nouveau été titularisé, comme il y a une semaine à Cadiz. Peu sollicité, le Belge fera concurrence à Andriy Lunin pour la finale de C1 à Dortmund.
Un adversaire de toute autre taille que celui d’aujourd’hui. Relégués quelques minutes avant le coup d’envoi après la victoire de Majorque plus tôt, les joueurs de Grenade n’ont pas fait preuve d'une grande envie sur le terrain. Des imprécisions techniques, mais surtout des attaquants trop statiques pour espérer surprendre la défense du Real. Un match de transition pour deux groupes qui attendent deux échéances bien différentes. Les vacances d’un côté, une 18e finale de Ligue des champions de l’autre. Pas le même monde.