En effet, Cheikh Amar, pour ne pas le nommer, entouré pour la circonstance des pièces maitresses de TSE, notamment son bras droit et parent Kader Ndiaye, a réceptionné ce mardi 21 Juillet 2015, des intrants destinés au monde rural. Précisément pas moins de 30.000 tonnes d’urée. Qui seront distribués dans les plus brefs délais, précisément à partir de ce mercredi. Au plus tard, la distribution prendra une semaine et les camions de Tse (pas moins de 75) sont déjà à pied d’œuvre.
S’expliquant devant les médias, M. Amar laissera entendre que « c’est par patriotisme que l’on fait des pieds et des mains pour satisfaire nos parents du monde rural ». Selon lui, l’espoir suscité par les premières pluies tombées il y’a de cela quelques jours ne devrait pas être une espérance évanescente, notamment pour les acteurs du monde agricole dont il se dit partie intégrante. « Ce n’est pas pour y gagner de l’argent, mais nous comptons apporter notre participation mais surtout notre expérience dans la distribution des intrants agricoles ».
Se voulant rassurant, M. Amar de dire qu’aussi bien la région méridionale que le Nord, en passant par le bassin arachidier, tous les paysans recevront leur quota d’engrais et urée. Bref, Cheikh Amar pare au plus pressé. « Comme je l’ai dit tantôt nombre de régions ont d’ores et déjà reçu leur quota et la ventilation va se poursuivre durant toute la semaine » renchérit M. Amar, non sans se féliciter de l’initiative du Président de la République, du Premier Ministre, de son ministre de tutelle faisant ainsi allusion à la subvention des intrants agricoles.
« Si vous regardez les pays qui ont réussi leur développement économique, tous à l’exception des producteurs de pétrole, ont fait de l’agriculture un élément essentiel. Vous n’êtes pas sans savoir que l'agriculture reste un secteur des plus importants de l'économie sénégalaise, elle emploie 60 % de la population et contribue pour seulement 7 % au produit intérieur brut (Pib)» fera-t-il savoir devant la presse venue couvrir la réception. Une manière d’expliquer son engagement à participer au développement de l’agriculture au Sénégal. Qui relève d’abord de recommandation de son illustre et regretté guide Serigne Saliou Mbacké.
Dans la foulée, l’ancien étudiant du prestigieux Leclerc (en France) révélera la mise sur orbite d’une usine d’engrais à même de ravitailler aussi bien le Sénégal que les pays limitrophes. Une firme qui emploiera d’ailleurs pas moins de 18 techniciens qui viendront de l’étranger et qui resteront au Sénégal au bas mot 6 mois aux fins de former nos compatriotes aux rudiments assez complexe des intrants agricoles.
Interpellé sur les éventuelles défaillances susceptibles de perturber la bonne marche de ladite campagne, le patron de TSE rappellera que le ministre de l’Agriculture, « qui ne ménage aucun effort », tient un cahier de charges.
« Certes, renchérit-il, d’autres opérateurs existent. Notre objectif, c’est de remplir nos engagements, car nous n’avons jamais failli. Si des manquements existent, le ministre sera obligé de se tourner vers d’autres acteurs »
S’expliquant devant les médias, M. Amar laissera entendre que « c’est par patriotisme que l’on fait des pieds et des mains pour satisfaire nos parents du monde rural ». Selon lui, l’espoir suscité par les premières pluies tombées il y’a de cela quelques jours ne devrait pas être une espérance évanescente, notamment pour les acteurs du monde agricole dont il se dit partie intégrante. « Ce n’est pas pour y gagner de l’argent, mais nous comptons apporter notre participation mais surtout notre expérience dans la distribution des intrants agricoles ».
Se voulant rassurant, M. Amar de dire qu’aussi bien la région méridionale que le Nord, en passant par le bassin arachidier, tous les paysans recevront leur quota d’engrais et urée. Bref, Cheikh Amar pare au plus pressé. « Comme je l’ai dit tantôt nombre de régions ont d’ores et déjà reçu leur quota et la ventilation va se poursuivre durant toute la semaine » renchérit M. Amar, non sans se féliciter de l’initiative du Président de la République, du Premier Ministre, de son ministre de tutelle faisant ainsi allusion à la subvention des intrants agricoles.
« Si vous regardez les pays qui ont réussi leur développement économique, tous à l’exception des producteurs de pétrole, ont fait de l’agriculture un élément essentiel. Vous n’êtes pas sans savoir que l'agriculture reste un secteur des plus importants de l'économie sénégalaise, elle emploie 60 % de la population et contribue pour seulement 7 % au produit intérieur brut (Pib)» fera-t-il savoir devant la presse venue couvrir la réception. Une manière d’expliquer son engagement à participer au développement de l’agriculture au Sénégal. Qui relève d’abord de recommandation de son illustre et regretté guide Serigne Saliou Mbacké.
Dans la foulée, l’ancien étudiant du prestigieux Leclerc (en France) révélera la mise sur orbite d’une usine d’engrais à même de ravitailler aussi bien le Sénégal que les pays limitrophes. Une firme qui emploiera d’ailleurs pas moins de 18 techniciens qui viendront de l’étranger et qui resteront au Sénégal au bas mot 6 mois aux fins de former nos compatriotes aux rudiments assez complexe des intrants agricoles.
Interpellé sur les éventuelles défaillances susceptibles de perturber la bonne marche de ladite campagne, le patron de TSE rappellera que le ministre de l’Agriculture, « qui ne ménage aucun effort », tient un cahier de charges.
« Certes, renchérit-il, d’autres opérateurs existent. Notre objectif, c’est de remplir nos engagements, car nous n’avons jamais failli. Si des manquements existent, le ministre sera obligé de se tourner vers d’autres acteurs »