Jeudi soir vers 23 h (heure locale), un camion a foncé dans la foule rassemblée sur la Promenade des Anglais de Nice pour les feux d’artifice du 14-Juillet. Le véhicule aurait roulé à pleine vitesse sur une distance de 2 km, suscitant un mouvement de panique. Des coups de feu ont également été entendus.
Au moins 84 personnes sont mortes et 18 se trouvent "en urgence absolue", d'après le ministère de l'Intérieur.
Devant le Palais de la Méditerranée, un luxueux complexe hôtelier, le camion blanc était immobilisé, quelques heures après l'attaque, les pneus crevés, la porte passager criblée d'impacts de balles.
D'après des témoignages confirmés par des sources proches de l'enquête, lechauffeur du camion a tiré avec un pistolet avant d'être abattu. Une "grenade inopérante" et des "armes longues factices" auraient également été trouvées dans le camion.
Des papiers d'identité ont été retrouvés à l'intérieur du véhicule. D'après les premiers éléments de l'enquête, ces papiers d'identité appartiennent au chauffeur, un individu franco-tunisien domicilié à Nice et connu des services de police pour des faits de délinquance, qui n'était cependant pas fiché "S".
La police a mené vendredi matin une perquisition au domicile de l'auteur de l'attaque, d'après le quotidien "Nice-Matin".
"Nous ignorons si il avait des complices", a indiqué François Hollande.
Le parquet de Nice a été dessaisi de l'enquête qui a été confiée à la section antiterroriste du parquet de Paris.
Le président de la République François Hollandea annoncé la prolongation de l'état d'urgence de trois mois à partir du 26 juillet, précisant que "le caractère terroriste" de l'attaque ne pouvait pas être nié.
Le chef de l'État réunira un conseil restreint de sécurité et de défense vendredi à 9 h, a indiqué l'Elysée.
Le Quai d'Orsay a mis en place un numéro d'urgence, le 01 43 17 56 46. Pour les familles des victimes
Au moins 84 personnes sont mortes et 18 se trouvent "en urgence absolue", d'après le ministère de l'Intérieur.
Devant le Palais de la Méditerranée, un luxueux complexe hôtelier, le camion blanc était immobilisé, quelques heures après l'attaque, les pneus crevés, la porte passager criblée d'impacts de balles.
D'après des témoignages confirmés par des sources proches de l'enquête, lechauffeur du camion a tiré avec un pistolet avant d'être abattu. Une "grenade inopérante" et des "armes longues factices" auraient également été trouvées dans le camion.
Des papiers d'identité ont été retrouvés à l'intérieur du véhicule. D'après les premiers éléments de l'enquête, ces papiers d'identité appartiennent au chauffeur, un individu franco-tunisien domicilié à Nice et connu des services de police pour des faits de délinquance, qui n'était cependant pas fiché "S".
La police a mené vendredi matin une perquisition au domicile de l'auteur de l'attaque, d'après le quotidien "Nice-Matin".
"Nous ignorons si il avait des complices", a indiqué François Hollande.
Le parquet de Nice a été dessaisi de l'enquête qui a été confiée à la section antiterroriste du parquet de Paris.
Le président de la République François Hollandea annoncé la prolongation de l'état d'urgence de trois mois à partir du 26 juillet, précisant que "le caractère terroriste" de l'attaque ne pouvait pas être nié.
Le chef de l'État réunira un conseil restreint de sécurité et de défense vendredi à 9 h, a indiqué l'Elysée.
Le Quai d'Orsay a mis en place un numéro d'urgence, le 01 43 17 56 46. Pour les familles des victimes