Toujours dans son entretien, l’arbitre a soutenu : « Il faut qu’Alioune Sarr quitte. Moi, je ne l’ai jamais prononcé, mais, au vu de la situation, il doit quitter parce qu’il n’en peut plus. Ça n’avance plus, rien n’a changé. Je suis au CNG depuis fort longtemps, mais, honnêtement, ça n’avance plus (…) ça tourne à la routine. Il faut du sang neuf et arrêtons de dire qu’après lui (Alioune Sarr), personne ne pourra faire ce qu’il a fait. Mais, qui était là avant lui ? Partout ça a changé et il faut qu’on change ».
Sitor NDOUR évoque aussi que sa radiation a été planifiée et préparée par le CNG. Il qualifie Alioune Sarr de dictateur qui, selon lui, « décide tout seul et fait tout à la place des autres. »
Prorogé par le ministre des Sports, Matar Bâ, en 2016, le mandat du Comité national de gestion (CNG) de lutte a pris fin le 10 mars dernier.