Comme annoncé en exclusivité par dakarposte.com, le procès de Cheikh Mbacké Sakho a été inscrit au rôle de ce 17octobre 2016. Mais, contre toute attente, l'affaire sera finalement renvoyée à la date du 19 octobre prochain.
C'est à croire que les talibés mouride s'étaient donnés rendez-vous au tribunal. D'ailleurs, ils s'en sont pris à l'auteur des propos blasphématoires. Qui a été copieusement hué et insulté. Fort heureusement, les gendarmes en faction sont vite intervenus pour mettre de l'ordre et escorter le tristement célèbre prévenu qui a failli se faire lyncher.
Pour rappel, un groupement de marabouts Mouride dénommé Diamatoul Khadimoul Khadim s'est constitué partie civile.
Pour ceux qui n'ont pas suivi les péripéties de cette affaire, dans une vidéo postée sur Facebook, Mbacké Sakho a remis en cause le fonctionnement du Mouridisme et s’est interrogé sur la pertinence de célébrer le Magal de Touba Apres la diffusion de sa vidéo sur les réseaux sociaux, des talibés mourides, qui se sont sentis atteints dans leur foi, ont décidé la nuit dernière de lui faire sa fête chez lui, à la cité Aliou Sow. Ce, malgré les appels au calme de certaines voix autorisées à Touba. N’eut été l’intervention de la police, le pire se serait produit.
Affaire à suivre...
C'est à croire que les talibés mouride s'étaient donnés rendez-vous au tribunal. D'ailleurs, ils s'en sont pris à l'auteur des propos blasphématoires. Qui a été copieusement hué et insulté. Fort heureusement, les gendarmes en faction sont vite intervenus pour mettre de l'ordre et escorter le tristement célèbre prévenu qui a failli se faire lyncher.
Pour rappel, un groupement de marabouts Mouride dénommé Diamatoul Khadimoul Khadim s'est constitué partie civile.
Pour ceux qui n'ont pas suivi les péripéties de cette affaire, dans une vidéo postée sur Facebook, Mbacké Sakho a remis en cause le fonctionnement du Mouridisme et s’est interrogé sur la pertinence de célébrer le Magal de Touba Apres la diffusion de sa vidéo sur les réseaux sociaux, des talibés mourides, qui se sont sentis atteints dans leur foi, ont décidé la nuit dernière de lui faire sa fête chez lui, à la cité Aliou Sow. Ce, malgré les appels au calme de certaines voix autorisées à Touba. N’eut été l’intervention de la police, le pire se serait produit.
Affaire à suivre...