Suite à la démission de notre collègue Ibrahima Hamidou DEME de son poste de membre élu du Conseil supérieur de la Magistrature, des voix se sont élevées pour le jeter en pâture et des menaces de sanctions de radiation ou de rétrogradation ont été brandies à son encontre», attaque l’Union des Magistrats du Sénégal (UMS).
Le Bureau exécutif de l’union rappelle qu’«il a toujours dénoncé, avec vigueur, les maux que le collègue DEME a évoqués dans sa lettre de démission notamment le dysfonctionnement du Conseil supérieur de la Magistrature».
Condamnant «fermement les menaces proférées contre les magistrats d’où qu’elles proviennent et rappelle que la Justice ne saurait être gérée par de l’intimidation», l’UMS invite «les uns et les autres à plus de sérénité, de mesure et au respect scrupuleux des principes qui gouvernent l’Etat de droit».
Dans un communiqué, le Bureau exécutif apporte ainsi «son soutien sans faille au collègue Ibrahima Hamidou DEME» et entend «continuer à mener toute action appropriée pour la sauvegarde des intérêts matériels, moraux et professionnels des magistrats».
Par la même occasion, l’UMS réaffirme «sa détermination à œuvrer pour le renforcement de l’indépendance de la justice».
Le Bureau exécutif de l’union rappelle qu’«il a toujours dénoncé, avec vigueur, les maux que le collègue DEME a évoqués dans sa lettre de démission notamment le dysfonctionnement du Conseil supérieur de la Magistrature».
Condamnant «fermement les menaces proférées contre les magistrats d’où qu’elles proviennent et rappelle que la Justice ne saurait être gérée par de l’intimidation», l’UMS invite «les uns et les autres à plus de sérénité, de mesure et au respect scrupuleux des principes qui gouvernent l’Etat de droit».
Dans un communiqué, le Bureau exécutif apporte ainsi «son soutien sans faille au collègue Ibrahima Hamidou DEME» et entend «continuer à mener toute action appropriée pour la sauvegarde des intérêts matériels, moraux et professionnels des magistrats».
Par la même occasion, l’UMS réaffirme «sa détermination à œuvrer pour le renforcement de l’indépendance de la justice».