La Commission européenne annonce le versement au Liban d'une nouvelle tranche d'aide humanitaire de trente millions d'euros.
Au total, le montant de l'aide européenne au pays du Cèdre atteint cette année 100 millions d'euros.
Dans un tweet, lé présidente de la Commission Ursula von der Leyen se dit "extrêmement préoccupée" par la situation au Liban.
De son côté, le chef de la diplomatie européenne regrette le manque "d'unité" de l'UE sur ce dossier.
Le catalan de 77 ans, dont le mandat arrive à terme le 1er décembre, a donné son point de vue à la télévision espagnole.
Josep Borrell, haut représentant pour les affaires étrangères et la politique de sécurité : "En ce qui concerne la guerre au Moyen-Orient, il y a des pays qui, pour des raisons historiques faciles à comprendre, sont prêts à accorder à Israël non seulement des armes, mais aussi une permissivité dans ses actions de défense ou d'attaque. D'autres, en revanche, comme l'Espagne, font preuve d'un plus grand effort pour respecter le droit humanitaire international, d'une plus grande préoccupation pour les conséquences de la guerre et d'un plus grand soutien aux Palestiniens."
Concernant l'évacuation du Liban des ressortissants européens, une porte-parole de la Commission rappelle qu'il en est de la responsabilité des Etats membres.
De son côté, la Commission apporte un soutien consulaire et diplomatique.
Nabila Massrali, porte-parole de la Commission européenne : "La coordination consulaire entre les Etats membres de l'UE et les autres pays associés est exercée en temps réel afin d'assurer notre préparation à toute situation d'urgence."
Sur le terrain, Israël dit avoir éliminé ce jeudi quinze combattants du Hezbollah dans une frappe sur le sud du Liban.
La branche armée du Hezbollah figure sur la liste des organisations terroristes de l'Union européenne.
Au total, le montant de l'aide européenne au pays du Cèdre atteint cette année 100 millions d'euros.
Dans un tweet, lé présidente de la Commission Ursula von der Leyen se dit "extrêmement préoccupée" par la situation au Liban.
De son côté, le chef de la diplomatie européenne regrette le manque "d'unité" de l'UE sur ce dossier.
Le catalan de 77 ans, dont le mandat arrive à terme le 1er décembre, a donné son point de vue à la télévision espagnole.
Josep Borrell, haut représentant pour les affaires étrangères et la politique de sécurité : "En ce qui concerne la guerre au Moyen-Orient, il y a des pays qui, pour des raisons historiques faciles à comprendre, sont prêts à accorder à Israël non seulement des armes, mais aussi une permissivité dans ses actions de défense ou d'attaque. D'autres, en revanche, comme l'Espagne, font preuve d'un plus grand effort pour respecter le droit humanitaire international, d'une plus grande préoccupation pour les conséquences de la guerre et d'un plus grand soutien aux Palestiniens."
Concernant l'évacuation du Liban des ressortissants européens, une porte-parole de la Commission rappelle qu'il en est de la responsabilité des Etats membres.
De son côté, la Commission apporte un soutien consulaire et diplomatique.
Nabila Massrali, porte-parole de la Commission européenne : "La coordination consulaire entre les Etats membres de l'UE et les autres pays associés est exercée en temps réel afin d'assurer notre préparation à toute situation d'urgence."
Sur le terrain, Israël dit avoir éliminé ce jeudi quinze combattants du Hezbollah dans une frappe sur le sud du Liban.
La branche armée du Hezbollah figure sur la liste des organisations terroristes de l'Union européenne.