Le Hamas a déclaré mercredi matin qu'Ismaïl Haniyeh avait été tué "lors d'une frappe aérienne sioniste sur sa résidence à Téhéran après avoir participé à l'investiture du nouveau président iranien".
"Le Hamas annonce au grand peuple palestinien, aux peuples des nations arabes et islamiques et à tous les peuples libres du monde que son frère leader Ismail Haniyeh est un martyr", indique le communiqué.
Israël avait juré de tuer Ismaïl Haniyeh et d'autres dirigeants du Hamas à la suite de l'attaque du groupe islamiste du 7 octobre qui a tué 1 200 personnes.
Ismaïl Haniyeh avait quitté la bande de Gaza en 2019 et vivait en exil au Qatar.
Il était mardi à Téhéran pour assister à l'investiture du nouveau président iranien Masoud Pezeshkian et avait rencontré un peu plus tôt le guide suprême iranien, l'ayatollah Ali Khamenei.
"Il est de notre devoir de venger le sang [d'Ismaïl Haniyeh]" dixit Ali Khamenei, Guide suprême d'Iran
Ce dernier a indiqué vouloir "venger le sang versé" sur le territoire iranien. "Avec cet acte, le régime sioniste criminel et terroriste a préparé le terrain pour un châtiment sévère pour lui-même", a-t-il menacé.
L'Iran a décrété trois jours de deuil national. Après des funérailles jeudi à Téhéran, le chef du Hamas sera enterré vendredi à Doha, au Qatar.
L'annonce de sa mort a suscité de nombreuses réactions. Dans un communiqué, le président de l'Autorité palestinienne Mahmoud Abbas a condamné ce "lâche assassinat".
Le président turc Recep Tayyip Erdogan a, quant à lui, condamné "l'assassinat perfide" de son "frère" Ismaïl Haniyeh.
Le Qatar a lui aussi dénoncé cet assassinat et évoque une "escalade dangereuse". Pour la Syrie, la mort du chef du Hamas pourrait "embraser toute la région". Et le Pakistan a dénoncé un "acte irresponsable".
Craignant un embrasement régional, de nombreux pays appellent à la retenue. Le secrétaire d'Etat à la défense Lloyd Austin, la guerre au Moyen-Orient n'est pas inévitable.
Selon le chef de la diplomatie américaine Antony Blinken, les Etats-Unis n'ont été ni "mis au courant" ni "impliqués" dans cet assassinat.
"Le Hamas annonce au grand peuple palestinien, aux peuples des nations arabes et islamiques et à tous les peuples libres du monde que son frère leader Ismail Haniyeh est un martyr", indique le communiqué.
Israël avait juré de tuer Ismaïl Haniyeh et d'autres dirigeants du Hamas à la suite de l'attaque du groupe islamiste du 7 octobre qui a tué 1 200 personnes.
Ismaïl Haniyeh avait quitté la bande de Gaza en 2019 et vivait en exil au Qatar.
Il était mardi à Téhéran pour assister à l'investiture du nouveau président iranien Masoud Pezeshkian et avait rencontré un peu plus tôt le guide suprême iranien, l'ayatollah Ali Khamenei.
"Il est de notre devoir de venger le sang [d'Ismaïl Haniyeh]" dixit Ali Khamenei, Guide suprême d'Iran
Ce dernier a indiqué vouloir "venger le sang versé" sur le territoire iranien. "Avec cet acte, le régime sioniste criminel et terroriste a préparé le terrain pour un châtiment sévère pour lui-même", a-t-il menacé.
L'Iran a décrété trois jours de deuil national. Après des funérailles jeudi à Téhéran, le chef du Hamas sera enterré vendredi à Doha, au Qatar.
L'annonce de sa mort a suscité de nombreuses réactions. Dans un communiqué, le président de l'Autorité palestinienne Mahmoud Abbas a condamné ce "lâche assassinat".
Le président turc Recep Tayyip Erdogan a, quant à lui, condamné "l'assassinat perfide" de son "frère" Ismaïl Haniyeh.
Le Qatar a lui aussi dénoncé cet assassinat et évoque une "escalade dangereuse". Pour la Syrie, la mort du chef du Hamas pourrait "embraser toute la région". Et le Pakistan a dénoncé un "acte irresponsable".
Craignant un embrasement régional, de nombreux pays appellent à la retenue. Le secrétaire d'Etat à la défense Lloyd Austin, la guerre au Moyen-Orient n'est pas inévitable.
Selon le chef de la diplomatie américaine Antony Blinken, les Etats-Unis n'ont été ni "mis au courant" ni "impliqués" dans cet assassinat.