Elle est l'une des meilleurs professionnels des médias qui se distinguent dans leur tâche quotidienne d’informer, éduquer et conscientiser l’opinion publique.
En sus de sa maîtrise incontestable de la langue d’expression (le Français), elle ne cesse de s'illustrer à travers la profondeur de ses analyses, mais également la vigueur de prise de position, l’originalité stylistique, la concision et la clarté de ses articles. Bref, elle a fini de séduire plus d'un par sa bonne facture grammaticale. Les confrères , consoeurs et lecteurs de l'Observateur ne diront pas le contraire. Elle, c'est notre consoeur Marie Louise Ndiaye.
Normal, serait-on tenté de dire car elle a blanchi sous le harnais. Journaliste de souche, Marie Louise est, nous souffle t'on, une passionnée des communications, particulièrement de la presse écrite. Quoi qu'elle a des prédispositions décrites "innées" à l'audiovisuel.
En tous les cas, les remarquables interventions à RFM (émission "Dioyou Khôl") ou sur Tfm (Quartier Général) de cette chroniqueuse judiciaire sont assez révélatrices.
Une consoeur témoignera pour dire :" de tous temps, le travail de Marie Louise s'articule autour des valeurs qui lui tiennent à cœur : rigueur, éthique, ponctualité, respect et professionnalisme."
Et, notre interlocutrice de révéler : "elle m'a une fois dit qu'être journaliste est une grande responsabilité dont il ne faut pas faire mauvais usage. C’est pourquoi, elle s’interroge sans cesse sur la meilleure manière d’exercer ce métier dans l’optique de mieux servir le public."
De nos investigations, il ressort que cette consoeur, aguerrie au traitement des "faits divers" du prétoire de Dakar, a vu le jour à Mbour. Elle a fait ses études à l'Immaculée Conception de la même ville qui a vu naitre tant de sommités dont le lutteur Serigne Dia dit Bombardier. Titulaire d’un baccalauréat (série S2), il revient à dakarposte qu' avant de déposer ses baluchons au quotidien de la Médina (l'Observateur), Marie Louise Ndiaye y a fait son premier stage. C'était en 2010 . À l'époque, cette belle plante, à la noirceur d'ébène tant chanté par "Léo Poète" (feu le Président Léopld Senghor), était en deuxième année de formation à l'Iseg.
Trois mois plus tard, elle est recrutée à "Nettali", le site de Mamoudou Wane et Cheikh Kouyate. À "Nettali", Marie avait le lourd fardeau d'alimenter la rubrique Politique.
C'est en 2011, qu'elle est enrôlée dans le journal satirique de Ibou Fall dénommé "Banc Diakhe". Trois mois après, elle revient à la rédaction de l'OBS . Et, depuis lors, elle y est employée.
Dans la foulée, dakarposte a appris de ses proches qu'elle a fait une formation en journalisme citoyen en Égypte. Et, c'est le Syndicat des professionnels de l'information et de la communication du Sénégal (SYNPICS) qui avait jeté son dévolu sur elle.
Coeur à prendre, l'entourage de Marie nous souffle qu'elle n'est pas coeur d'artichaut; autrement dit, pas du tout tête de linotte, elle n'est pas du genre à tomber facilement amoureuse.
En sus de sa maîtrise incontestable de la langue d’expression (le Français), elle ne cesse de s'illustrer à travers la profondeur de ses analyses, mais également la vigueur de prise de position, l’originalité stylistique, la concision et la clarté de ses articles. Bref, elle a fini de séduire plus d'un par sa bonne facture grammaticale. Les confrères , consoeurs et lecteurs de l'Observateur ne diront pas le contraire. Elle, c'est notre consoeur Marie Louise Ndiaye.
Normal, serait-on tenté de dire car elle a blanchi sous le harnais. Journaliste de souche, Marie Louise est, nous souffle t'on, une passionnée des communications, particulièrement de la presse écrite. Quoi qu'elle a des prédispositions décrites "innées" à l'audiovisuel.
En tous les cas, les remarquables interventions à RFM (émission "Dioyou Khôl") ou sur Tfm (Quartier Général) de cette chroniqueuse judiciaire sont assez révélatrices.
Une consoeur témoignera pour dire :" de tous temps, le travail de Marie Louise s'articule autour des valeurs qui lui tiennent à cœur : rigueur, éthique, ponctualité, respect et professionnalisme."
Et, notre interlocutrice de révéler : "elle m'a une fois dit qu'être journaliste est une grande responsabilité dont il ne faut pas faire mauvais usage. C’est pourquoi, elle s’interroge sans cesse sur la meilleure manière d’exercer ce métier dans l’optique de mieux servir le public."
De nos investigations, il ressort que cette consoeur, aguerrie au traitement des "faits divers" du prétoire de Dakar, a vu le jour à Mbour. Elle a fait ses études à l'Immaculée Conception de la même ville qui a vu naitre tant de sommités dont le lutteur Serigne Dia dit Bombardier. Titulaire d’un baccalauréat (série S2), il revient à dakarposte qu' avant de déposer ses baluchons au quotidien de la Médina (l'Observateur), Marie Louise Ndiaye y a fait son premier stage. C'était en 2010 . À l'époque, cette belle plante, à la noirceur d'ébène tant chanté par "Léo Poète" (feu le Président Léopld Senghor), était en deuxième année de formation à l'Iseg.
Trois mois plus tard, elle est recrutée à "Nettali", le site de Mamoudou Wane et Cheikh Kouyate. À "Nettali", Marie avait le lourd fardeau d'alimenter la rubrique Politique.
C'est en 2011, qu'elle est enrôlée dans le journal satirique de Ibou Fall dénommé "Banc Diakhe". Trois mois après, elle revient à la rédaction de l'OBS . Et, depuis lors, elle y est employée.
Dans la foulée, dakarposte a appris de ses proches qu'elle a fait une formation en journalisme citoyen en Égypte. Et, c'est le Syndicat des professionnels de l'information et de la communication du Sénégal (SYNPICS) qui avait jeté son dévolu sur elle.
Coeur à prendre, l'entourage de Marie nous souffle qu'elle n'est pas coeur d'artichaut; autrement dit, pas du tout tête de linotte, elle n'est pas du genre à tomber facilement amoureuse.