Après trois mois de gestion de la pandémie au coronavirus, l’État du Sénégal a pris des décisions consistant à assouplir les mesures et lever les restrictions dans le but de permettre le pays de ne pas perdre le contrôle et par conséquent être dans une bonne dynamique de sauvegarde de son économie. Ainsi, ces grandes décisions prises ne sont pas appréciées de la même manière.
Ainsi, le coordonnateur national du mouvement Y’en A Marre, Aliou Sané qui s’est confié à Dakaractu dans « L’Entretien » ne s'est pas montré satisfait par rapport à certaines approches que l'État a adoptées dans la gestion de la pandémie. Il faudra dans ce cas signaler cette défaillance dans la communication. « À ce stade, il fallait une approche communautaire et une meilleure implication des populations et, en tenant compte des réalités socioculturelles », proposera le membre du mouvement Nio Laànk.
Ainsi, le tour dans le domaine de la communication pourrait aussi être joué, si « l’État se serait, aussi appuyé sur des leviers qui peuvent faciliter la communication comme les associations, les Imams, les Badénou Gokh, les acteurs culturels etc… », ajoutera Aliou Sané.
Le discours de l’État et des officiels qui n'est pas écouté, pose, selon le coordonnateur du mouvement Y’en A Marre, un certain nombre de problèmes, notamment « la rupture de confiance entre l'autorité et les populations qui, de manière routière, gobe les différents points qui sont quotidiennement donnés ». Dès lors, quand il y’a des actes qui sont posés et qui ne vont pas dans le sens de montrer plus de transparence ou même de bonne gouvernance, il y’aura inéluctablement cette cassure entre l’État et les populations.
Sur la question relative au littoral qui est d’ailleurs alimentée ces derniers jours, Aliou Sané appelle aux différentes forces citoyennes à en faire leur propre affaire. « Ce qui fera que l’État respecte cette question sur la préservation du domaine public maritime, c’est les citoyens qui doivent l’imposer. Donc les mouvements citoyens, les initiatives spontanées doivent s'approprier de cette question pour que nos autorités puissent agir positivement ».
Dans la perspective de continuité de lutte contre la Covid-19, le coordonnateur du mouvement Y’en A Marre assure être toujours dans la sensibilisation en distribuant une série de capsules au niveau des réseaux sociaux. Mais également avec cette campagne dénommée « Sama Masque, Sama Kaàrangué » avec comme objectif, l’appel à tous les citoyens à contribuer et confectionner 50.000 masques.
Ainsi, le coordonnateur national du mouvement Y’en A Marre, Aliou Sané qui s’est confié à Dakaractu dans « L’Entretien » ne s'est pas montré satisfait par rapport à certaines approches que l'État a adoptées dans la gestion de la pandémie. Il faudra dans ce cas signaler cette défaillance dans la communication. « À ce stade, il fallait une approche communautaire et une meilleure implication des populations et, en tenant compte des réalités socioculturelles », proposera le membre du mouvement Nio Laànk.
Ainsi, le tour dans le domaine de la communication pourrait aussi être joué, si « l’État se serait, aussi appuyé sur des leviers qui peuvent faciliter la communication comme les associations, les Imams, les Badénou Gokh, les acteurs culturels etc… », ajoutera Aliou Sané.
Le discours de l’État et des officiels qui n'est pas écouté, pose, selon le coordonnateur du mouvement Y’en A Marre, un certain nombre de problèmes, notamment « la rupture de confiance entre l'autorité et les populations qui, de manière routière, gobe les différents points qui sont quotidiennement donnés ». Dès lors, quand il y’a des actes qui sont posés et qui ne vont pas dans le sens de montrer plus de transparence ou même de bonne gouvernance, il y’aura inéluctablement cette cassure entre l’État et les populations.
Sur la question relative au littoral qui est d’ailleurs alimentée ces derniers jours, Aliou Sané appelle aux différentes forces citoyennes à en faire leur propre affaire. « Ce qui fera que l’État respecte cette question sur la préservation du domaine public maritime, c’est les citoyens qui doivent l’imposer. Donc les mouvements citoyens, les initiatives spontanées doivent s'approprier de cette question pour que nos autorités puissent agir positivement ».
Dans la perspective de continuité de lutte contre la Covid-19, le coordonnateur du mouvement Y’en A Marre assure être toujours dans la sensibilisation en distribuant une série de capsules au niveau des réseaux sociaux. Mais également avec cette campagne dénommée « Sama Masque, Sama Kaàrangué » avec comme objectif, l’appel à tous les citoyens à contribuer et confectionner 50.000 masques.