Le prince saoudien Turki Bin Saud Al-Kabir a été exécuté à Riyad mardi, après qu’un tribunal l’ait reconnu coupable d’avoir abattu un de ses compatriotes, Adel al-Mohaimeed, après une bagarre. Un cas très rare de condamnation à la peine capitale d’un membre de la famille régnante.
Le ministère de l’Intérieur dans un communiqué publié par l’agence de nouvelles SPA dit que le prince, avait plaidé coupable, mais le rapport ne mentionne pas la méthode d’exécution utilisée.
En règle générale, la plupart des peines de mort dans le royaume islamique sont effectuées par décapitation au sabre sur une place publique.
Selon une dépêche du New York Times, les exécutions de membres de la famille royale sont rares et c’est la première en quatre décennies qu’un membre de la famille soit exécuté.
Le dernier cas en date est celui de Faisal bin Musaid al-Saud, qui a assassiné son oncle, le roi Fasial, en 1975.
Une liste faite par l’ AFP dit que le prince est le 134e individu à être exécuté cette année. Le ministère de l’Intérieur a déclaré qu’il assurerait à tout le monde que le gouvernement était «désireux de maintenir l’ordre, de stabiliser la sécurité et faire régner la justice en mettant en œuvre les règles prescrites par Allah ».
La famille de la victime a refusé des offres de «prix du sang» et a exigé que justice soit faite.
Sur les médias sociaux, certains Saoudiens ont dit qu’ils n’ont jamais imaginé qu’une telle chose se produirait alors que d’autres ont dit ce geste indique la qualité de leur système de justice.
La famille régnante saoudienne est estimée à environ plusieurs milliers.
Les membres reçoivent une allocation mensuelle, tandis que les princes les plus hauts commandent une grande richesse et le pouvoir politique, mais seulement quelques-uns dans la famille occupent des postes importants du gouvernement.
AFRK, M; FELICIAE
Le ministère de l’Intérieur dans un communiqué publié par l’agence de nouvelles SPA dit que le prince, avait plaidé coupable, mais le rapport ne mentionne pas la méthode d’exécution utilisée.
En règle générale, la plupart des peines de mort dans le royaume islamique sont effectuées par décapitation au sabre sur une place publique.
Selon une dépêche du New York Times, les exécutions de membres de la famille royale sont rares et c’est la première en quatre décennies qu’un membre de la famille soit exécuté.
Le dernier cas en date est celui de Faisal bin Musaid al-Saud, qui a assassiné son oncle, le roi Fasial, en 1975.
Une liste faite par l’ AFP dit que le prince est le 134e individu à être exécuté cette année. Le ministère de l’Intérieur a déclaré qu’il assurerait à tout le monde que le gouvernement était «désireux de maintenir l’ordre, de stabiliser la sécurité et faire régner la justice en mettant en œuvre les règles prescrites par Allah ».
La famille de la victime a refusé des offres de «prix du sang» et a exigé que justice soit faite.
Sur les médias sociaux, certains Saoudiens ont dit qu’ils n’ont jamais imaginé qu’une telle chose se produirait alors que d’autres ont dit ce geste indique la qualité de leur système de justice.
La famille régnante saoudienne est estimée à environ plusieurs milliers.
Les membres reçoivent une allocation mensuelle, tandis que les princes les plus hauts commandent une grande richesse et le pouvoir politique, mais seulement quelques-uns dans la famille occupent des postes importants du gouvernement.
AFRK, M; FELICIAE