Khalifa Sall encerclé, Idrissa Seck aphone, Karim Wade exilé: le terrible sort des challengers de Macky Sall
Au moment où le chef de l’Etat multiplie les initiatives dans la perspective de la présidentielle de 2019, le sort de ses trois principaux challengers est peu enviable.
En perspective de l’élection présidentielle de 2019, le chef de l’Etat Macky Sall, candidat à sa propre succession, déroule tranquillement son agenda. Il a lancé la pré-campagne électorale avant l’heure à travers le lancement tous azimuts d’infrastructures, des inaugurations et des tournées dites économiques aux forts relents politiques.
Au moment où le Président Sall multiplie les initiatives dans le dessein de charmer l’électorat, le sort de ses trois principaux challengers à la présidentielle de 2019, Khalifa Sall dont la candidature ne souffre plus d’aucune ambiguïté, Idrissa Seck et Karim Wade, n’est guère reluisant.
Présenté comme un dangereux adversaire pour Macky Sall en 2019, le maire de Dakar est freiné dans son élan par les développements judiciaires de l’affaire du saccage de la maison du Parti socialiste. Quant à Idrissa Seck, après avoir multiplié les sorties virulentes, contre le régime de Macky Sall, il est devenu subitement aphone car sa sortie remonte à la veille du grand Magal de Touba. Pour ce qui concerne Karim Wade, les choses semblent plus compliquées. En effet, depuis son élargissement de prison, le fils de Wade a été exilé au Qatar. Un fait que son père a confirmé dans un document intitulé "Le miracle de Noël".
Toutefois, l'analyste politique, Dr Cheick Atab Badji, interpellé par Vox Populi pense que cette "neutralisation de ses principaux adversaires politiques n'est pas toujours gage de succès".
En perspective de l’élection présidentielle de 2019, le chef de l’Etat Macky Sall, candidat à sa propre succession, déroule tranquillement son agenda. Il a lancé la pré-campagne électorale avant l’heure à travers le lancement tous azimuts d’infrastructures, des inaugurations et des tournées dites économiques aux forts relents politiques.
Au moment où le Président Sall multiplie les initiatives dans le dessein de charmer l’électorat, le sort de ses trois principaux challengers à la présidentielle de 2019, Khalifa Sall dont la candidature ne souffre plus d’aucune ambiguïté, Idrissa Seck et Karim Wade, n’est guère reluisant.
Présenté comme un dangereux adversaire pour Macky Sall en 2019, le maire de Dakar est freiné dans son élan par les développements judiciaires de l’affaire du saccage de la maison du Parti socialiste. Quant à Idrissa Seck, après avoir multiplié les sorties virulentes, contre le régime de Macky Sall, il est devenu subitement aphone car sa sortie remonte à la veille du grand Magal de Touba. Pour ce qui concerne Karim Wade, les choses semblent plus compliquées. En effet, depuis son élargissement de prison, le fils de Wade a été exilé au Qatar. Un fait que son père a confirmé dans un document intitulé "Le miracle de Noël".
Toutefois, l'analyste politique, Dr Cheick Atab Badji, interpellé par Vox Populi pense que cette "neutralisation de ses principaux adversaires politiques n'est pas toujours gage de succès".
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