A 48 heures de l'élection des Hauts conseillers des collectivités territoriales, le maire de Dakar, Khalifa Sall, bande les muscles. “Gare à celui qui tentera de voler ces élections”, avertit-il. Il rencontrait les élus de Grand Dakar, ce jeudi, note “Le Populaire”.
Le patron de la coalition “Taxawu Ndakaru” tient à rectifier le pouvoir qui soutient qu'il l'a battu à Dakar lors du référendum. “Personne ne nous a battus au référendum, que ça soit clair. Le référendum, c'est une affaire individuelle. Puisque nous nous respectons, nous n'avons jamais battu campagne ou appeler à voter pour le “Non”. Je défie n'importe quel élu, maire ou conseiller, de dire si je l'ai appelé à voter dans tel ou tel sens. Donc, qu'ils arrêtent de dire qu'ils nous ont battus”, rectifie-t-il.
Revenant sur l'élection des membres du Haut conseil des collectivités territoriales, il déclare : “Chacun de nous, surtout au niveau de la ville, nous connaissons les 1098 conseillers. Nous nous connaissons, nous savons qui est qui, et aujourd'hui, ce qui est important dans ce type de scrutin de second collège, c'est que les électeurs sont connus, identifiables, localisables. Mais puisque l'élection relève d'une autorité reconnue et acceptée, il faut que celle-ci créé les conditions d'une transparence”, note-t-il.
Auteur: seneweb
Le patron de la coalition “Taxawu Ndakaru” tient à rectifier le pouvoir qui soutient qu'il l'a battu à Dakar lors du référendum. “Personne ne nous a battus au référendum, que ça soit clair. Le référendum, c'est une affaire individuelle. Puisque nous nous respectons, nous n'avons jamais battu campagne ou appeler à voter pour le “Non”. Je défie n'importe quel élu, maire ou conseiller, de dire si je l'ai appelé à voter dans tel ou tel sens. Donc, qu'ils arrêtent de dire qu'ils nous ont battus”, rectifie-t-il.
Revenant sur l'élection des membres du Haut conseil des collectivités territoriales, il déclare : “Chacun de nous, surtout au niveau de la ville, nous connaissons les 1098 conseillers. Nous nous connaissons, nous savons qui est qui, et aujourd'hui, ce qui est important dans ce type de scrutin de second collège, c'est que les électeurs sont connus, identifiables, localisables. Mais puisque l'élection relève d'une autorité reconnue et acceptée, il faut que celle-ci créé les conditions d'une transparence”, note-t-il.
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