Libération : Pouvez-nous expliquer les raisons de votre courroux ?
C’est simple : n’importe quel singe se lève maintenant pour s’en prendre gratuitement à Cheikh Amar qui est une fierté na- tionale. N’importe qui, et c’est vraiment triste. Moi, je n’ai jamais parlé dans la presse. Si au jourd’hui je brise le silence c’est pour dire à tous ces affabulateurs : basta. Désormais, ce sera coup pour coup et nous ne transige- rons pas. Regardez ce qui s’est passé récemment, un certain Moustapha Amar a fait une sortie pour dire que Cheikh Amar a ou- blié les populations de Diemoul. Qui est Moustapha Amar ? Qu’est ce qu’il a fait pour ce pays ? Où était-il lui et ses commanditaires lorsque Cheikh Amar étudiait à Saint-Louis puis à Dakar avant de se rendre en France et de revenir au Sénégal par la grâce de Serigne Saliou Mbacké ? Ces malotrus doi- vent savoir que désormais, le chantage ne marche plus.
Donc toutes ces sorties sont guidées pour le chantage ?
Oui, je le dis et je le répète : je re- viendrai au cas par cas avec des détails sur toutes ces personnes expertes en chantage qui veulent faire de Cheikh Amar leur vache à lait. Et je dis bien toutes ces per- sonnes, y compris ceux qui viennent voir Cheikh Amar pour ra- conter des histoires et espérer des prébendes. Ce sont tous des vautours. Je voulais faire une pré- cision : que les gens se méfient de ceux qui viennent dire qu’ils font partie de l’entourage de Cheikh Amar ou qu’ils sont amis à lui. C’est faux. Cheikh Amar n’a qu’un seul entourage : sa femme la brave et digne Marie et ses enfants. Sa famille est son seul et unique en- tourage. Quiconque soutient le contraire raconte des histoires pour se faire un nom. Il faut que ces per- sonnes arrêtent d’utiliser le nom de Cheikh Amar qui n’est pas n’im- porte qui dans ce pays.
Votre dernier mot ?
J’en appelle à la responsabilités de mes amis journalistes, surtout de certains sites internet. On ne peut pas donner la parole à quelqu’un dont l’unique objectif est de salir un citoyen intègre ou de faire une sortie pour espérer après recevoir de l’argent. Ces pratiques doivent cesser au Séné- gal et les Sénégalais doivent s’éri- ger en bouclier pour ces dignes fils du pays qui se battent nuit et jour ; qui ont bâti leur fortune sur la base unique du travail.
Propos recueillis par Cheikh Mbacké Guissé Libération
C’est simple : n’importe quel singe se lève maintenant pour s’en prendre gratuitement à Cheikh Amar qui est une fierté na- tionale. N’importe qui, et c’est vraiment triste. Moi, je n’ai jamais parlé dans la presse. Si au jourd’hui je brise le silence c’est pour dire à tous ces affabulateurs : basta. Désormais, ce sera coup pour coup et nous ne transige- rons pas. Regardez ce qui s’est passé récemment, un certain Moustapha Amar a fait une sortie pour dire que Cheikh Amar a ou- blié les populations de Diemoul. Qui est Moustapha Amar ? Qu’est ce qu’il a fait pour ce pays ? Où était-il lui et ses commanditaires lorsque Cheikh Amar étudiait à Saint-Louis puis à Dakar avant de se rendre en France et de revenir au Sénégal par la grâce de Serigne Saliou Mbacké ? Ces malotrus doi- vent savoir que désormais, le chantage ne marche plus.
Donc toutes ces sorties sont guidées pour le chantage ?
Oui, je le dis et je le répète : je re- viendrai au cas par cas avec des détails sur toutes ces personnes expertes en chantage qui veulent faire de Cheikh Amar leur vache à lait. Et je dis bien toutes ces per- sonnes, y compris ceux qui viennent voir Cheikh Amar pour ra- conter des histoires et espérer des prébendes. Ce sont tous des vautours. Je voulais faire une pré- cision : que les gens se méfient de ceux qui viennent dire qu’ils font partie de l’entourage de Cheikh Amar ou qu’ils sont amis à lui. C’est faux. Cheikh Amar n’a qu’un seul entourage : sa femme la brave et digne Marie et ses enfants. Sa famille est son seul et unique en- tourage. Quiconque soutient le contraire raconte des histoires pour se faire un nom. Il faut que ces per- sonnes arrêtent d’utiliser le nom de Cheikh Amar qui n’est pas n’im- porte qui dans ce pays.
Votre dernier mot ?
J’en appelle à la responsabilités de mes amis journalistes, surtout de certains sites internet. On ne peut pas donner la parole à quelqu’un dont l’unique objectif est de salir un citoyen intègre ou de faire une sortie pour espérer après recevoir de l’argent. Ces pratiques doivent cesser au Séné- gal et les Sénégalais doivent s’éri- ger en bouclier pour ces dignes fils du pays qui se battent nuit et jour ; qui ont bâti leur fortune sur la base unique du travail.
Propos recueillis par Cheikh Mbacké Guissé Libération