La plateforme pour la libération de Khalifa Sall va rencontrer le groupe parlementaire des Libéraux et démocrates cet après-midi pour militer en faveur du maire de Dakar. Jean-Paul Dias qui en a fait la révélation s'en est pris au Bureau de l’Assemblée. Lequel, selon lui, ne devait pas accepter une lettre venant du procureur de la République.
L'idée c’était de rencontrer tous les groupes et de leur poser le problème afin qu’ils prennent leur responsabilité. Ils ont un collègue député qui est en prison illégalement, injustement, anticonstitutionnellement donc, l’Assemblée doit réagir». Dixit Jean-Paul Dias sur la plateforme pour la libération de Khalifa Sall qui doit rencontrer le groupe parlementaire des Libéraux et démocrates pour les sensibiliser sur le sort du député-maire de Dakar.
Sur sa lancée, le leader du Bloc des centristes Gaïndé a fait savoir, sur les ondes de Sud fm, que cette idée n’est pas une nouveauté puisqu’il avait demandé à Me Wade de diriger la première séance inaugurale de la 13e Législature et d’en profiter pour réclamer la présence de M. Sall.
A l’en croire, cette rencontre n’est que la première étape et la suivante sera celle avec le groupe de la majorité qui, affirme M. Dias compte de nombreux adeptes de la libération de Khalifa Sall dans ses rangs.
A l’endroit du Bureau de l’Assemblée nationale, Dias-père lance : «J’interpelle toute la direction de l’Assemblée nationale, tout le bureau. Ce sont eux-mêmes qui auraient dû refuser d’examiner la demande de levée de l’immunité parlementaire venant du procureur. D’ailleurs elle doit transiter par le garde des sceaux ministre de la Justice. Deuxièmement ce n’est pas sur une simple lettre, il faudrait tout un dossier pour convaincre les députés. Une simple lettre c’est n’importe quoi.»
Sur sa lancée, le leader du Bloc des centristes Gaïndé a fait savoir, sur les ondes de Sud fm, que cette idée n’est pas une nouveauté puisqu’il avait demandé à Me Wade de diriger la première séance inaugurale de la 13e Législature et d’en profiter pour réclamer la présence de M. Sall.
A l’en croire, cette rencontre n’est que la première étape et la suivante sera celle avec le groupe de la majorité qui, affirme M. Dias compte de nombreux adeptes de la libération de Khalifa Sall dans ses rangs.
A l’endroit du Bureau de l’Assemblée nationale, Dias-père lance : «J’interpelle toute la direction de l’Assemblée nationale, tout le bureau. Ce sont eux-mêmes qui auraient dû refuser d’examiner la demande de levée de l’immunité parlementaire venant du procureur. D’ailleurs elle doit transiter par le garde des sceaux ministre de la Justice. Deuxièmement ce n’est pas sur une simple lettre, il faudrait tout un dossier pour convaincre les députés. Une simple lettre c’est n’importe quoi.»