A l’entame de l’émission Opinion de Walf TV et Walf FM, le leader du Bloc des centristes gaindé (BCG) a indiqué ne pas vouloir s’appesantir sur le sujet. «Je préfère ne faire aucun commentaire sur cette affaire, ainsi que ma famille me l’a demandé (…) Je ne fais aucun commentaire. Je laisse la justice faire son travail», avait-il commencé par observer.
A l’arrivée, Jean Paul Dias a presque tout dit. Plus l’émission animée par Ndèye Fatou Ndiaye progressait, plus son franc-parler prenait le dessus. «Il ne faut pas parler de procès Barthélémy Dias, ce n’est pas vrai. Les prévenus qui ont été convoqués sont nombreux. Il y’en a même trois qui ont disparu dans la nature (…) C’est le procès de l’attaque de la mairie», a-t-il rétorqué à la journaliste.
Poursuivant son argumentaire et très en verve, Jean Paul Dias, qui trouve normal le renvoi du procès, estime que son fils n’est pas celui qui a ouvert les hostilités, qu’il n’a fait que répondre à la provocation. «Tous ces gens sont poursuivis par le procureur parce qu’ils détenaient des armes à feu sans autorisation », a-t-il précisé, comme pour écarter l’un des chefs d’accusations faisant état de meurtre. Pour l’ancien DG de l’IPRES sous le régime de Me WADE si son fils est cité, c’est parce que simplement il a bon dos. «Le premier coup hostile est venu de ces gens-là et ça sera prouvé», a-t-il soutenu.
WALF
A l’arrivée, Jean Paul Dias a presque tout dit. Plus l’émission animée par Ndèye Fatou Ndiaye progressait, plus son franc-parler prenait le dessus. «Il ne faut pas parler de procès Barthélémy Dias, ce n’est pas vrai. Les prévenus qui ont été convoqués sont nombreux. Il y’en a même trois qui ont disparu dans la nature (…) C’est le procès de l’attaque de la mairie», a-t-il rétorqué à la journaliste.
Poursuivant son argumentaire et très en verve, Jean Paul Dias, qui trouve normal le renvoi du procès, estime que son fils n’est pas celui qui a ouvert les hostilités, qu’il n’a fait que répondre à la provocation. «Tous ces gens sont poursuivis par le procureur parce qu’ils détenaient des armes à feu sans autorisation », a-t-il précisé, comme pour écarter l’un des chefs d’accusations faisant état de meurtre. Pour l’ancien DG de l’IPRES sous le régime de Me WADE si son fils est cité, c’est parce que simplement il a bon dos. «Le premier coup hostile est venu de ces gens-là et ça sera prouvé», a-t-il soutenu.
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