Après trois matches de Serie A sous la direction de son nouvel entraîneur portugais Paulo Fonseca, le Milan est bloqué en bas de classement (14e) avec deux points.
L'ambitieux club lombard n'a plus débuté aussi mal une saison depuis 2011. Plus inquiétant encore, il a toujours concédé deux buts par match depuis le coup d'envoi.
Fonseca, toujours privé de sa recrue-star Alvaro Morata, blessé, a pourtant tenté un électrochoc en laissant sur le banc Rafael Leao et Théo Hernandez.
Cela a semblé faire effet: son équipe a rapidement ouvert la marque par Strahinja Pavlovic (8e) et a globalement maîtrisé les débats, avant de s'effondrer à l'heure de jeu en concédant deux buts (62 et 66e).
Ce sont les entrées de Leao et Hernandez qui ont permis au club lombard d'arracher le nul, l'attaquant portugais étant à la réception d'une remise du Français (72e).
Les deux joueurs ont ensuite été les protagonistes d'une scène insolite qui semble indiquer qu'il y a déjà des tensions: pendant une pause fraicheur, ils se sont ostensiblement tenus loin du reste de leurs coéquipiers qui écoutaient les instructions de leur entraîneur.
Bologne en quête de victoire
"On venait à peine de rentrer, on n'avait pas besoin de se rafraîchir, il n'y a aucun problème, le groupe est uni", s'est défendu l'international français.
"L'équipe a tout simplement arrêté de jouer après la pause", a de son côté analysé Fonseca, déjà sous pression.
Au lendemain de la fermeture d'un marché des transferts où il a été très actif et dépensé plus de 150 millions d'euros, le Napoli s'est fait peur à domicile, avant de s'imposer en toute fin de match face à Parme (2-1).
Menée depuis la 19e minute sur un pénalty du Français Ange-Yoan Bonny, l'équipe d'Antonio Conte a dû attendre l'exclusion du gardien de Parme et son remplacement par un joueur de champ, pour prendre le dessus.
Le promu ayant procédé à tous ses changements, c'est le défenseur et capitaine Enrico Delprato qui a pris place dans les buts et qui s'est incliné deux fois dans le temps additionnel face à Lukaku, Napolitain depuis jeudi (90+2), et André-Frank Anguissa (90+6).
Naples a bondi grâce à ce deuxième succès consécutif à la 4e place (6 pts), à une longueur de l'Inter Milan, vainqueur la veille de l'Atalanta (4-0) grâce à un doublé de Marcus Thuram.
Equipe-surprise de la saison dernière, Bologne n'a toujours pas gagné et pointe à une inquiétante 16e place (2 pts) après son nul à domicile face à Empoli (2-2).
L'ambitieux club lombard n'a plus débuté aussi mal une saison depuis 2011. Plus inquiétant encore, il a toujours concédé deux buts par match depuis le coup d'envoi.
Fonseca, toujours privé de sa recrue-star Alvaro Morata, blessé, a pourtant tenté un électrochoc en laissant sur le banc Rafael Leao et Théo Hernandez.
Cela a semblé faire effet: son équipe a rapidement ouvert la marque par Strahinja Pavlovic (8e) et a globalement maîtrisé les débats, avant de s'effondrer à l'heure de jeu en concédant deux buts (62 et 66e).
Ce sont les entrées de Leao et Hernandez qui ont permis au club lombard d'arracher le nul, l'attaquant portugais étant à la réception d'une remise du Français (72e).
Les deux joueurs ont ensuite été les protagonistes d'une scène insolite qui semble indiquer qu'il y a déjà des tensions: pendant une pause fraicheur, ils se sont ostensiblement tenus loin du reste de leurs coéquipiers qui écoutaient les instructions de leur entraîneur.
Bologne en quête de victoire
"On venait à peine de rentrer, on n'avait pas besoin de se rafraîchir, il n'y a aucun problème, le groupe est uni", s'est défendu l'international français.
"L'équipe a tout simplement arrêté de jouer après la pause", a de son côté analysé Fonseca, déjà sous pression.
Au lendemain de la fermeture d'un marché des transferts où il a été très actif et dépensé plus de 150 millions d'euros, le Napoli s'est fait peur à domicile, avant de s'imposer en toute fin de match face à Parme (2-1).
Menée depuis la 19e minute sur un pénalty du Français Ange-Yoan Bonny, l'équipe d'Antonio Conte a dû attendre l'exclusion du gardien de Parme et son remplacement par un joueur de champ, pour prendre le dessus.
Le promu ayant procédé à tous ses changements, c'est le défenseur et capitaine Enrico Delprato qui a pris place dans les buts et qui s'est incliné deux fois dans le temps additionnel face à Lukaku, Napolitain depuis jeudi (90+2), et André-Frank Anguissa (90+6).
Naples a bondi grâce à ce deuxième succès consécutif à la 4e place (6 pts), à une longueur de l'Inter Milan, vainqueur la veille de l'Atalanta (4-0) grâce à un doublé de Marcus Thuram.
Equipe-surprise de la saison dernière, Bologne n'a toujours pas gagné et pointe à une inquiétante 16e place (2 pts) après son nul à domicile face à Empoli (2-2).