Israël affirme avoir frappé le quartier général des services de renseignement du Hezbollah, tout en continuant à frapper des cibles dans la capitale libanaise.
"Le corps des renseignements est le principal organe de renseignement du Hezbollah et il est chargé de rassembler des renseignements sur les Forces de défense israéliennes et l'État d'Israël", ont déclaré les Forces de défense israéliennes (FDI) dans un communiqué justifiant l'attaque.
Cette attaque fait suite à une attaque contre un immeuble d'habitation dans le centre de Beyrouth, qui a fait neuf morts mercredi, selon le ministère libanais de la santé.
L'armée israélienne a indiqué que l'attaque, qui n'avait fait l'objet d'aucun avertissement préalable, visait un immeuble abritant un centre médical affilié au Hezbollah.
L'unité de défense civile du Hezbollah a déclaré que sept de ses membres avaient été tués dans l'attaque, qui a touché un bâtiment proche du siège des Nations unies, du bureau du premier ministre et du parlement.
L'armée israélienne cible Beyrouth
Bien qu'Israël ait bombardé des régions du pays où le groupe militant du Hezbollah est fortement implanté depuis la fin septembre, il a rarement frappé au cœur de Beyrouth.
Ces frappes interviennent alors qu'Israël mène une incursion terrestre au Liban contre le Hezbollah, soutenu par l'Iran. Pour la première fois depuis un an l'armée libanaise a riposté aux tirs israéliens.
Au moins huit soldats israéliens ont été tués lors d'affrontements avec le Hezbollah dans le sud du Liban, où Israël a annoncé le début d'une incursion terrestre limitée en début de semaine. Entre-temps, la région s'est préparée à des représailles israéliennes suite à une attaque de missiles balistiques iraniens.
Israël a demandé à la population de quitter Nabatiyeh, capitale provinciale, et d'autres localités situées au nord du fleuve Litani, qui forme la limite nord de la zone frontalière établie par le Conseil de sécurité de l'ONU après la guerre de 2006 entre les deux parties. Chaque partie accuse l'autre de violer
Des secouristes de l Croix Rouge tués
Selon la Croix-Rouge libanaise, une frappe israélienne a blessé quatre secouristes et tué un soldat de l'armée libanaise alors qu'ils évacuaient des blessés du sud du pays.
L'Organisation mondiale de la santé a annoncé que 28 professionnels de santé ont été tués au cours de la journée écoulée au Liban. L'annonce de ces décès intervient après la fermeture de trois douzaines d'établissements de santé dans le sud du pays et l'évacuation partielle ou totale de cinq hôpitaux à Beyrouth.
Les frappes israéliennes qui touchent les établissements et le personnel de santé violent le droit international et les traités internationaux, a déclaré le ministre libanais de la santé, Firas Abiad.
L'organisation humanitaire a ajouté que le convoi près du village de Taybeh, qui était accompagné par des troupes libanaises, a été pris pour cible jeudi alors qu'il coordonnait ses mouvements avec les forces de maintien de la paix de l'ONU. L'armée israélienne n'a pas fait de commentaire dans l'immédiat.
Selon le ministre de la Santé Firass Abiad, les bombardements israéliens ont fait au moins 1 974 morts, dont 127 enfants, et 9 384 blessés depuis le début des bombardements sur le Liban.
"Le corps des renseignements est le principal organe de renseignement du Hezbollah et il est chargé de rassembler des renseignements sur les Forces de défense israéliennes et l'État d'Israël", ont déclaré les Forces de défense israéliennes (FDI) dans un communiqué justifiant l'attaque.
Cette attaque fait suite à une attaque contre un immeuble d'habitation dans le centre de Beyrouth, qui a fait neuf morts mercredi, selon le ministère libanais de la santé.
L'armée israélienne a indiqué que l'attaque, qui n'avait fait l'objet d'aucun avertissement préalable, visait un immeuble abritant un centre médical affilié au Hezbollah.
L'unité de défense civile du Hezbollah a déclaré que sept de ses membres avaient été tués dans l'attaque, qui a touché un bâtiment proche du siège des Nations unies, du bureau du premier ministre et du parlement.
L'armée israélienne cible Beyrouth
Bien qu'Israël ait bombardé des régions du pays où le groupe militant du Hezbollah est fortement implanté depuis la fin septembre, il a rarement frappé au cœur de Beyrouth.
Ces frappes interviennent alors qu'Israël mène une incursion terrestre au Liban contre le Hezbollah, soutenu par l'Iran. Pour la première fois depuis un an l'armée libanaise a riposté aux tirs israéliens.
Au moins huit soldats israéliens ont été tués lors d'affrontements avec le Hezbollah dans le sud du Liban, où Israël a annoncé le début d'une incursion terrestre limitée en début de semaine. Entre-temps, la région s'est préparée à des représailles israéliennes suite à une attaque de missiles balistiques iraniens.
Israël a demandé à la population de quitter Nabatiyeh, capitale provinciale, et d'autres localités situées au nord du fleuve Litani, qui forme la limite nord de la zone frontalière établie par le Conseil de sécurité de l'ONU après la guerre de 2006 entre les deux parties. Chaque partie accuse l'autre de violer
Des secouristes de l Croix Rouge tués
Selon la Croix-Rouge libanaise, une frappe israélienne a blessé quatre secouristes et tué un soldat de l'armée libanaise alors qu'ils évacuaient des blessés du sud du pays.
L'Organisation mondiale de la santé a annoncé que 28 professionnels de santé ont été tués au cours de la journée écoulée au Liban. L'annonce de ces décès intervient après la fermeture de trois douzaines d'établissements de santé dans le sud du pays et l'évacuation partielle ou totale de cinq hôpitaux à Beyrouth.
Les frappes israéliennes qui touchent les établissements et le personnel de santé violent le droit international et les traités internationaux, a déclaré le ministre libanais de la santé, Firas Abiad.
L'organisation humanitaire a ajouté que le convoi près du village de Taybeh, qui était accompagné par des troupes libanaises, a été pris pour cible jeudi alors qu'il coordonnait ses mouvements avec les forces de maintien de la paix de l'ONU. L'armée israélienne n'a pas fait de commentaire dans l'immédiat.
Selon le ministre de la Santé Firass Abiad, les bombardements israéliens ont fait au moins 1 974 morts, dont 127 enfants, et 9 384 blessés depuis le début des bombardements sur le Liban.