Omar Sarr subodore t'il une longue durée dans les ténèbres, autrement dit en détention préventive? En tous les cas, isolé dans sa garde à vue, le coordonnateur du Pds (qui n'a pratiquement pas reçu de visiteurs) au commissariat du Port a demandé à ce que l'on lui apporte de quoi bouquiner.
En effet, dakarposte.com tient de sources concordantes que le coordonnateur du Pds, qui fait l'expérience de l'univers carcéral, passe le plus clair de son temps à lire.
C'est connu: le livre apporte avec lui des paysages, des personnages, des histoires, des voix, des pensées, des émotions. Particulièrement dans l'univers carcéral on ne peut plus abscons, la lecture chasse l’ennui, comble le vide, rompt l’isolement.
On peut aisément concevoir que sa nécessité est d’autant plus grande dans l’univers "déshumanisant" de la prison. Plus que jamais se vérifie alors la vérité de la formule : " Lire, c’est vivre".
Tout simplement parce qu’un roman, un essai historique, un livre de poèmes est un objet hospitalier, particulièrement en prison : il est pareil à une porte toujours ouverte. Tout simplement parce qu’un livre a le pouvoir de susciter des objets, des lieux et des créatures absents, de leur redonner vie et présence.
En tous les cas, comme disait un grand penseur, on peut certes vivre sans lire ... mais l'on vit mieux en fréquentant les oeuvres littéraires.
Le droit à la lecture est aujourd’hui considéré comme un droit de l’Homme. Malheureusement, soit dit en passant,les bibliothèques de prison au Sénégal, sont la plupart du temps trop petites et les livres qu’on peut y trouver sont souvent trop vieux ou proviennent de dons.
En effet, dakarposte.com tient de sources concordantes que le coordonnateur du Pds, qui fait l'expérience de l'univers carcéral, passe le plus clair de son temps à lire.
C'est connu: le livre apporte avec lui des paysages, des personnages, des histoires, des voix, des pensées, des émotions. Particulièrement dans l'univers carcéral on ne peut plus abscons, la lecture chasse l’ennui, comble le vide, rompt l’isolement.
On peut aisément concevoir que sa nécessité est d’autant plus grande dans l’univers "déshumanisant" de la prison. Plus que jamais se vérifie alors la vérité de la formule : " Lire, c’est vivre".
Tout simplement parce qu’un roman, un essai historique, un livre de poèmes est un objet hospitalier, particulièrement en prison : il est pareil à une porte toujours ouverte. Tout simplement parce qu’un livre a le pouvoir de susciter des objets, des lieux et des créatures absents, de leur redonner vie et présence.
En tous les cas, comme disait un grand penseur, on peut certes vivre sans lire ... mais l'on vit mieux en fréquentant les oeuvres littéraires.
Le droit à la lecture est aujourd’hui considéré comme un droit de l’Homme. Malheureusement, soit dit en passant,les bibliothèques de prison au Sénégal, sont la plupart du temps trop petites et les livres qu’on peut y trouver sont souvent trop vieux ou proviennent de dons.