Alors comment va Maréma Fall ?
(Rires). Ça va, je vais très bien !
On peut avoir une idée sur vos activités depuis que vous avez gagné le prix RFI découvertes ?
(Elle inspire). En ce moment, on fait beaucoup de singles. Et on a fait une tournée africaine de dix huit pays et une tournée européenne pour terminer à Dakar où j’ai joué dans pas mal de boîtes. J’ai aussi récemment été à Ziguinchor avec Youssou Ndour et j’ai joué la première partie.
Nous constatons que vous travaillez présentement avec Mao Otayeck. C’est pour un temps bien déterminé ou est-ce un contrat à long terme ?
(Pff) Avec Mao on a pas signé de contrat mais on travaille en équipe. On est en coproduction, Il est aussi à la guitare, l’ambiance est très bonne.
Alors quels sont vos projets avec lui?
Comme on est en coproduction, on a des projets, on prépare la sortie de l’album et on travaille ensemble (sourire)
Pensez-vous à un duo avec un quelconque artiste?
Euh, un duo … Pas pour l’instant mais c’est en vue..
Comment définissez-vous votre style musical?
Waaw, à chaque fois on me pose cette question (rires)
Alors une brève définition
Bah, je ne peux pas définir ma musique, mais globalement je peux dire que c’est une musique métissée.
Comment est-ce que vous parvenez à imprimer une touche métisse à votre musique ?
C’est simple, déjà Mao lui, il est métisse, c’est un bambara, est il m’aide beaucoup avec le style.
Dans notre orchestre, Il n’ y a pas que des sénégalais mais des étrangers aussi y sont; le batteur Albert est béninois, Mohammed Fall à la guitare basse est sénégalais, est voilà…Je peux dire que notre concept, c’est le métissage (rires)
Comment est-ce que vous vous positionnez par rapport aux autres artistes comme Coumba Gawlo par exemple ?
Bah, je sais pas comment définir ma position vu que que Coumba elle, est une diva international; alors que moi j’ai à peine débuté ma carrière. (Rires)…
Comment avez-vous connu les membres du groupe ?
Avec Mirma, on s’est connu chez père Ouza où on jouait ensemble mais cinq mois après j’ai arrêté car c’était trop loin par rapport à mon lieu d’habitation. Puis on s’est retrouvé à la même école, John F. Kennedy alors que j’étais en classe de seconde, elle faisait la troisième. A la pause on se retrouvait pour chantonner. Après on a été ensemble à l’école Douta Seck, où on a appris la musique. C’est vraiment quelqu’un que j’estime beaucoup, elle est simple, modeste et sympa … Je l’aime beaucoup.
Et Mao Sidibé ?
Mao lui, je l’ai connu il n’y pas longtemps et c’est à travers sa musique. J’aime ce qu’il fait, il répond toujours présent lors de mes spectacles. J’aime son style musicale, je l’estime bien aussi. Si je peux me permettre, je l’appelle mon bonhomme.
Alors Marema est-elle un cœur à prendre ou elle est déjà prise ?
(Sourire) À prendre ! (Lol)
Quel message pour finir ?
Oui! En effet, c’est pour les jeunes, il faut que l’on soit plus dynamique, ne rien attendre du gouvernement, ne pas se croiser les bras. Il faut encourager le mouvement et la créativité chez les jeunes. Un autre message, c’est la scolarisation des filles. Je pense que c’est très important.
(Rires). Ça va, je vais très bien !
On peut avoir une idée sur vos activités depuis que vous avez gagné le prix RFI découvertes ?
(Elle inspire). En ce moment, on fait beaucoup de singles. Et on a fait une tournée africaine de dix huit pays et une tournée européenne pour terminer à Dakar où j’ai joué dans pas mal de boîtes. J’ai aussi récemment été à Ziguinchor avec Youssou Ndour et j’ai joué la première partie.
Nous constatons que vous travaillez présentement avec Mao Otayeck. C’est pour un temps bien déterminé ou est-ce un contrat à long terme ?
(Pff) Avec Mao on a pas signé de contrat mais on travaille en équipe. On est en coproduction, Il est aussi à la guitare, l’ambiance est très bonne.
Alors quels sont vos projets avec lui?
Comme on est en coproduction, on a des projets, on prépare la sortie de l’album et on travaille ensemble (sourire)
Pensez-vous à un duo avec un quelconque artiste?
Euh, un duo … Pas pour l’instant mais c’est en vue..
Comment définissez-vous votre style musical?
Waaw, à chaque fois on me pose cette question (rires)
Alors une brève définition
Bah, je ne peux pas définir ma musique, mais globalement je peux dire que c’est une musique métissée.
Comment est-ce que vous parvenez à imprimer une touche métisse à votre musique ?
C’est simple, déjà Mao lui, il est métisse, c’est un bambara, est il m’aide beaucoup avec le style.
Dans notre orchestre, Il n’ y a pas que des sénégalais mais des étrangers aussi y sont; le batteur Albert est béninois, Mohammed Fall à la guitare basse est sénégalais, est voilà…Je peux dire que notre concept, c’est le métissage (rires)
Comment est-ce que vous vous positionnez par rapport aux autres artistes comme Coumba Gawlo par exemple ?
Bah, je sais pas comment définir ma position vu que que Coumba elle, est une diva international; alors que moi j’ai à peine débuté ma carrière. (Rires)…
Comment avez-vous connu les membres du groupe ?
Avec Mirma, on s’est connu chez père Ouza où on jouait ensemble mais cinq mois après j’ai arrêté car c’était trop loin par rapport à mon lieu d’habitation. Puis on s’est retrouvé à la même école, John F. Kennedy alors que j’étais en classe de seconde, elle faisait la troisième. A la pause on se retrouvait pour chantonner. Après on a été ensemble à l’école Douta Seck, où on a appris la musique. C’est vraiment quelqu’un que j’estime beaucoup, elle est simple, modeste et sympa … Je l’aime beaucoup.
Et Mao Sidibé ?
Mao lui, je l’ai connu il n’y pas longtemps et c’est à travers sa musique. J’aime ce qu’il fait, il répond toujours présent lors de mes spectacles. J’aime son style musicale, je l’estime bien aussi. Si je peux me permettre, je l’appelle mon bonhomme.
Alors Marema est-elle un cœur à prendre ou elle est déjà prise ?
(Sourire) À prendre ! (Lol)
Quel message pour finir ?
Oui! En effet, c’est pour les jeunes, il faut que l’on soit plus dynamique, ne rien attendre du gouvernement, ne pas se croiser les bras. Il faut encourager le mouvement et la créativité chez les jeunes. Un autre message, c’est la scolarisation des filles. Je pense que c’est très important.